Bannalec
Petite ville du Sud-Finistère, Bannalec (5 144 habitants) est située entre l'Isole et l'Aven, à 32 kilomètres à l'est de Quimper.
Paroisse primitive, dont le territoire d'origine englobait également une partie de Rosporden (Kernével) et Scaër), Bannalec fut mentionnée pour la première fois en 1030. L'abbaye de Quimperlé y était autrefois possessionnée (village de Trébalay).
A partir du Moyen Age, la principale seigneurie de la paroisse fut celle de Quimerc'h, érigée en baronnie par le duc Jean V. Elle fut successivement aux mains des familles Quérimerc'h, Hautbois (1350), Tinténiac (1526) et Du Breil de Rays (XVIIIe s).
Touché par les combats de la guerre de la Ligue (1597), le village fut particulièrement impliqué dans la révolte du Papier timbré en 1675.
Trois Bannalecois furent guillotinés à Paris en juin 1794 pour avoir conduit une révolte de conscrits huit mois plus tôt.
Jusqu'au Concordat de 1801, Bannalec releva de l'ancien diocèse de Cornouaille.
Le chemin de fer arriva à Bannalec en 1863 (ligne Lorient-Quimper). De 1870 à 1871, 250 habitants trouvèrent la mort à la suite d'une épidémie de variole.
Paroisse primitive, dont le territoire d'origine englobait également une partie de Rosporden (Kernével) et Scaër), Bannalec fut mentionnée pour la première fois en 1030. L'abbaye de Quimperlé y était autrefois possessionnée (village de Trébalay).
A partir du Moyen Age, la principale seigneurie de la paroisse fut celle de Quimerc'h, érigée en baronnie par le duc Jean V. Elle fut successivement aux mains des familles Quérimerc'h, Hautbois (1350), Tinténiac (1526) et Du Breil de Rays (XVIIIe s).
Touché par les combats de la guerre de la Ligue (1597), le village fut particulièrement impliqué dans la révolte du Papier timbré en 1675.
Trois Bannalecois furent guillotinés à Paris en juin 1794 pour avoir conduit une révolte de conscrits huit mois plus tôt.
Jusqu'au Concordat de 1801, Bannalec releva de l'ancien diocèse de Cornouaille.
Le chemin de fer arriva à Bannalec en 1863 (ligne Lorient-Quimper). De 1870 à 1871, 250 habitants trouvèrent la mort à la suite d'une épidémie de variole.
Retrouvée dans une mare, cette stèle fut élevée par les Gaulois.
Située à sept kilomètres au nord du bourg, elle est construite près des rives de l'Isole en 1683 par les seigneurs de Mur de Livinot. Elle possédait autrefois son propre cimetière.
Egalement appelée « église blanche », elle est édifiée en 1860 à Loj Groës, dans le style néogothique, en remplacement d'un édifice religieux plus ancien et tombé en ruine. La chapelle se trouve sur le parcours du Tro Breiz.
Haute de trois mètres, cette croix monolithe fut probablement érigée au XIXe s.
Il est construit en 1947 avec des éléments (porte en arc brisé) provenant de l'ancienne chapelle de Trébalay, tombée en ruines. La statue du saint, réalisée au XVIIe s., se trouvait à l'origine dans la chapelle Saint-Trémeur (détruite).