Bohars
Commune du Nord-Finistère, Bohars (3 288 habitants) est située sur le plateau du Bas-Léon, à 6 kilomètres au nord du centre de Brest.
La présence d’une villa est attestée à l’époque gallo-romaine, comme en témoigne le nom de Beuzit (« plantation de buis »).
Démembrement de la paroisse primitive de Milizac, puis de celle de Guilers, Bohars dépendait sous l’Ancien Régime de la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan, et releva de l’ancien diocèse de Léon jusqu’au Concordat de 1801.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la population de Bohars augmente considérablement.
En 1955, la commune a annexé cinq villages qui dépendaient jusqu’alors de Milizac.
La présence d’une villa est attestée à l’époque gallo-romaine, comme en témoigne le nom de Beuzit (« plantation de buis »).
Démembrement de la paroisse primitive de Milizac, puis de celle de Guilers, Bohars dépendait sous l’Ancien Régime de la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan, et releva de l’ancien diocèse de Léon jusqu’au Concordat de 1801.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la population de Bohars augmente considérablement.
En 1955, la commune a annexé cinq villages qui dépendaient jusqu’alors de Milizac.
Cet édifice a été construit de 1904 à 1905 dans le style néo-gothique (avec des fenestrages de type roman), selon les plans de l’architecte landernéen Adolphe Vally, afin de remplacer un bâtiment élevé au milieu du XIXe s. et devenu trop petit. Gravement endommagée lors des combats de libération de Brest, l’église a été restaurée de 1948 à 1949.
Construite par la famille Du Chastel au XVIe s., elle fut restaurée au XIXe s. Ancienne dépendance du manoir de Kerampir, elle était autrefois dédiée à saint Quijau.
Située à quelques pas de la chapelle Notre-Dame de Loguillio, elle fut édifiée au XVIe s. et restaurée au début du XXe s. Elle était réputée guérir les rhumatismes et l’enfle du bétail.