Bourg-Blanc
Commune du Nord-Finistère, Bourg-Blanc (3 154 habitants) est située sur le plateau du Bas-Léon, à 15 kilomètres au nord de Brest.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouvien, Bourg-Blanc releva de l’ancien diocèse de Léon jusqu’au Concordat de 1801.
Saint Urfold, oncle de saint Hervé, y fonda un ermitage au VIe s., tandis qu’un hôpital y fut fondé au milieu du XIVe s.
Les différents points d’eau présents sur le territoire de la commune sont dus à l’exploitation de mines d’étain.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouvien, Bourg-Blanc releva de l’ancien diocèse de Léon jusqu’au Concordat de 1801.
Saint Urfold, oncle de saint Hervé, y fonda un ermitage au VIe s., tandis qu’un hôpital y fut fondé au milieu du XIVe s.
Les différents points d’eau présents sur le territoire de la commune sont dus à l’exploitation de mines d’étain.
Vers 1930, le recteur Rolland ajouta une croix à cette pierre taillée à l’époque gallo-romaine et retrouvée sur la route de Milizac. Les deux anges au calice et la pietà proviennent probablement d’un ancien calvaire du XVIe s., aujourd’hui disparu. L’ensemble mesure 3,50 m de haut.
Construit dans la deuxième moitié du XVIIIe s., l’édifice a été agrandi en 1862.
Situé à un kilomètre au nord-ouest du bourg, ce petit édifice rectangulaire est construit au XVe s. à l’emplacement où vécut saint Urfold, oncle de saint Hervé. Vendue comme bien national la Révolution, la chapelle est cédée à la commune en 1825 par le sieur Guena. Rendu eau culte en 1841, elle abrite le tombeau de l’ermite.
utrefois lors du pardon, qui se déroulait le lundi de Pentecôte, les malades souffrant de rhumatisme passaient plusieurs fois à genoux devant le sarcophage pour demander leur guérison.
utrefois lors du pardon, qui se déroulait le lundi de Pentecôte, les malades souffrant de rhumatisme passaient plusieurs fois à genoux devant le sarcophage pour demander leur guérison.
Construit à la fin du XVIe s., restauré en 1842 et en 1990, cet ossuaire est devenu la chapelle des Trépassés, dédiée à saint Eloi et saint Herbot. Comportant sept baies cintrées, il abrite de nos jours un musée.
Haut de cinq mètres, il fut élevé au XVIe s. sur l’un des murs de l’enclos de la chapelle, et restauré en 1927.
Haute de cinq mètres, la croix surmontant le monument aux morts a été érigée au XXe s.