Brennilis
Petite commune du centre du Finistère, Brennilis (467 habitants) se trouve au cœur des monts d’Arrée et fait partie du Parc naturel régional d’Armorique.
Sur son territoire on trouve notamment les marais du Yeun Elez, où la tradition bretonne situe l’une des portes de l’Enfer.
Brennilis doit notamment sa célébrité pour avoir vu la construction de la première centrale nucléaire française, en 1962. Exploitée de 1967 à 1985, elle est en cours de démantèlement (la centrale de Brennilis est au cœur de l’aventure de Spirou et Fantasio « l’Ankou »).
Le territoire de la commune abrite également plusieurs mégalithes, preuves d’une présence humaine importante au Néolithique.
Sur son territoire on trouve notamment les marais du Yeun Elez, où la tradition bretonne situe l’une des portes de l’Enfer.
Brennilis doit notamment sa célébrité pour avoir vu la construction de la première centrale nucléaire française, en 1962. Exploitée de 1967 à 1985, elle est en cours de démantèlement (la centrale de Brennilis est au cœur de l’aventure de Spirou et Fantasio « l’Ankou »).
Le territoire de la commune abrite également plusieurs mégalithes, preuves d’une présence humaine importante au Néolithique.
Recouvert d’un tumulus en terre, « la maison des Fées » est un dolmen en V - un type peu courant en Bretagne -, long de treize mètres. Il date d’environ 3 000 avant J.-C. La hauteur varie de 1,20 m (à l’entrée) à 1,75 m (au fond). Au milieu de la chambre se trouve un pilier.
Haut de trois mètres, ce menhir faisait partie autrefois d’un alignement (trois ou quatre grandes pierres sont couchées sur un talus voisin). Il est situé près du vieux village de Plouénez.
Fondée par les seigneurs de Kerannou, elle est construite à partir de 1485, puis modifiée, remaniée et restaurée à plusieurs reprises (XVIe s., 1694, 1862, 1955). Le clocher ne comporte pas de galerie.
Autrefois, le premier lundi de mai, les habitants de la paroisse devaient se rendre à l’église afin d’en faire le tour à pied ou à genoux, à la fois à l’extérieur et à l’intérieur de l’édifice.
Autrefois, le premier lundi de mai, les habitants de la paroisse devaient se rendre à l’église afin d’en faire le tour à pied ou à genoux, à la fois à l’extérieur et à l’intérieur de l’édifice.
Erigé en 1523 à Nestavel, ce calvaire haut de cinq mètres est transféré à son emplacement actuel à l’occasion de la construction de la centrale nucléaire. Un ange au titulus surmonte le Crucifix. Sur le socle, figure deux statues mutilées, un Christ ressuscité et une Pietà.
Elevée au XVIe s., cette croix monolithe mesure 3,80 m de haut et présente un crucifix en bas-relief.
Réalisé par l’atelier du sculpteur landernéen de Roland Doré, ce calvaire haut de cinq mètres est élevé en 1625. Le Christ en croix est surmonté d’un ange tenant le titulus. Une pietà, encadrée de Madeleine et de saint Jean est posée sur le socle, tandis qu’au revers figure le Christ ressuscité. On peut voir le blason des Quélen au pied du Crucifix.