Brignogan-Plages
Petite commune du Nord-Finistère, Brignogan-Plages (849 habitants) est situé dans le Bas-Léon, à 38 kilomètres au nord-est de Brest.
Cette station balnéaire possède cinq kilomètres de côtes, baignées par la Manche.
Peuplé dès le Paléolithique, le territoire de Brignogan possède notamment un très grand et beau menhir.
Démembrement de la paroisse primitive de Plounéour-Trez, Brignogan ne devint une commune qu’en 1934 et une paroisse en 1935.
Dès le Moyen Age, le port du Pontusval fut très recherché par les navires de cabotage.
En 1936, la commune prit le nom officiel de Brignogan-Plages pour favoriser le tourisme.
Cette station balnéaire possède cinq kilomètres de côtes, baignées par la Manche.
Peuplé dès le Paléolithique, le territoire de Brignogan possède notamment un très grand et beau menhir.
Démembrement de la paroisse primitive de Plounéour-Trez, Brignogan ne devint une commune qu’en 1934 et une paroisse en 1935.
Dès le Moyen Age, le port du Pontusval fut très recherché par les navires de cabotage.
En 1936, la commune prit le nom officiel de Brignogan-Plages pour favoriser le tourisme.
Erigé à Pontusval entre 4 500 et 2 500 avant J.-C., il est, avec ses 8,50 mètres de hauteur, l’un des quatre plus grands menhirs de France. A la différence de la plupart des autres monuments de ce genre, il a la particularité de ne pas être enterré, mais simplement posé sur le sol. Christianisé au Moyen Age, le menhir a été acheté par l’Etat en 1881, pour cent francs.
D'après légende, saint Pol Aurélien et sa sœur auraient choisi cet endroit comme point à ne pas dépasser par les marées invasives. Pour marquer cette limite, ils y auraient planté cette « pierre du miracle » (men marz).
Selon une tradition, les jeunes filles souhaitant se marier venaient au menhir lancer un caillou vers son sommet. Si celui-ci restait accroché au rebord, l’union avait lieu dans l’année. On peut encore y voir ces encoches et ces cailloux. Dans une variante ce sont les couples désirant un enfant qui venaient jeter la pierre.
D'après légende, saint Pol Aurélien et sa sœur auraient choisi cet endroit comme point à ne pas dépasser par les marées invasives. Pour marquer cette limite, ils y auraient planté cette « pierre du miracle » (men marz).
Selon une tradition, les jeunes filles souhaitant se marier venaient au menhir lancer un caillou vers son sommet. Si celui-ci restait accroché au rebord, l’union avait lieu dans l’année. On peut encore y voir ces encoches et ces cailloux. Dans une variante ce sont les couples désirant un enfant qui venaient jeter la pierre.
Sa construction, réalisée selon les plans de l’architecte de Saint-Brieuc Auguste Courcoux, commence en 1938 mais doit être suspendue en raison de la guerre. L’édifice n’est finalement consacré que le 15 septembre 1956.
Bâtie au XVIe s. à l’emplacement d’un ancien établissement monastique fondé par saint Pol Aurélien, près de la pointe de Beg-Pol, elle fut en partie reconstruite en 1870 et restaurée en 1968.
Réalisée au Moyen Age, elle mesure 1,50 m de haut et présente un Crucifix en bas-relief.
Haut de 4,50 m, il date du XVIe s.
Elle date du XVIe s.
Haute de trois mètres, elle est érigée en 1594. Endommagée durant la Révolution française, elle est restaurée en 1821.
Erigée au XVIe s. et restaurée en 1857, elle présente un Crucifix en bas relief.
Construite au XVIIIe s. près de la chapelle Pol - qui servait de corps de garde -, elle permettait aux miliciens d’avoir un excellent poste d’observation de Pontusval à Kerlouan.
Bâti au XIXe s., ce moulin à blé perd ses ailes lors d’une tempête en décembre 1899. Il a aujourd’hui été aménagé en résidence.
Il a été construit en 1980.