Carantec
Gros bourg du Nord-Finistère, en Léon, Carantec (3 088 habitants) se trouve à 14 kilomètres au nord de Morlaix.
Baignée par la Manche, entre la rivière de Taulé et la baie de Morlaix, la commune est une station balnéaire qui attire chaque année bon nombre de touristes. Elle dispose notamment d’un parcours de golf.
Démembrement de la paroisse primitive de Taulé, Carantec aurait été fondée à la fin du Ve s. ou au début du VIe s. par saint Ténenan (futur évêque de Léon), disciple du moine gallois saint Carantocus. Elle fut érigée en paroisse indépendante en 1802.
Baignée par la Manche, entre la rivière de Taulé et la baie de Morlaix, la commune est une station balnéaire qui attire chaque année bon nombre de touristes. Elle dispose notamment d’un parcours de golf.
Démembrement de la paroisse primitive de Taulé, Carantec aurait été fondée à la fin du Ve s. ou au début du VIe s. par saint Ténenan (futur évêque de Léon), disciple du moine gallois saint Carantocus. Elle fut érigée en paroisse indépendante en 1802.
En raison de l’effondrement de la nef de l’édifice précédent suite à une tempête, il fallut construire une nouvelle église. De style néogothique, celle-ci est édifiée de 1867 à 1869 selon les plans de l’architecte de Kermenguy. Par manque de moyen, le clocher, à deux galeries, n’a été cependant été réalisé qu’à la fin du XXe s.
Située sur les hauteurs de l’île Callot, cette chapelle fut construite dans la première moitié du XVIe s. à l’emplacement d’un édifice plus ancien (qui pourrait remonter au VIe s.). Agrandie à partir de 1642, remaniée (clocher) de 1671 à 1674, elle fut transformée en poste militaire sous la Révolution et reconstruite vers 1807-1808.
Un pardon y attire nombre de pèlerins le dimanche après le 15 août.
Un pardon y attire nombre de pèlerins le dimanche après le 15 août.
Cet arc de triomphe à double entrée, édifié au XVIIe s., fut transféré en 1937 du manoir de Kerangoaguet à la place de l’Eglise.
Haute de trois mètres, elle érigée vers 1965 près de la chapelle Notre-Dame de Callot par l’abbé Bosson. Il s’agit de la reproduction d’une croix monolithique des Côtes-d’Armor réalisé par un sculpteur de Taulé, Kerguiduff.
Cette tour carrée de 18,7 mètres de haut a été construite de 1843 à 1845 sur les hauteurs dominant la baie de Morlaix, par l'entrepreneur de Morlaix Louis Guillotou de Kerbuel. Il est automatisé en 1993 et les derniers gardiens quittent le phare en mai 1998.
Construit de 1859 à 1860 à l’entrée de la baie de Morlaix, près du château du Taureau, il fut automatisé en 1962. Accolée à un bâtiment technique, la tour fait 9 mètres de haut.