Crac'h
Petite commune du centre sud du Morbihan, Crac’h (3 260 habitants) est située sur la rive occidentale de la rivière d’Auray, à 23 kilomètres à l’ouest de Vannes et à 42 km à l’est de Lorient.
La présence de nombreux mégalithes atteste d’une occupation humaine de la région au Néolithique. Dans l’Antiquité, une voie gallo-romaine venant de Locmariaquer traversait le territoire et conduisait à cité importante, disposant notamment d’un théâtre et d’un aqueduc.
Crac’h est issue du démembrement de la paroisse primitive de Kaër. Un petit monastère y est fondé au haut Moyen Age, tandis qu’un prieuré s’y établit au XIe s. Kaër devient le siège d’une seigneurie en 1105. A partir du XIVe s., les puissants barons de Kaër possèdent une grande partie des rives du golfe du Morbihan ainsi que le port de Vannes.
Durant la Révolution, la commune est marquée par le soulèvement chouan (Jean Le Bourdiec).
La présence de nombreux mégalithes atteste d’une occupation humaine de la région au Néolithique. Dans l’Antiquité, une voie gallo-romaine venant de Locmariaquer traversait le territoire et conduisait à cité importante, disposant notamment d’un théâtre et d’un aqueduc.
Crac’h est issue du démembrement de la paroisse primitive de Kaër. Un petit monastère y est fondé au haut Moyen Age, tandis qu’un prieuré s’y établit au XIe s. Kaër devient le siège d’une seigneurie en 1105. A partir du XIVe s., les puissants barons de Kaër possèdent une grande partie des rives du golfe du Morbihan ainsi que le port de Vannes.
Durant la Révolution, la commune est marquée par le soulèvement chouan (Jean Le Bourdiec).
Isolée dans les landes et les bois, cette chapelle de style néogothique fut édifiée de 1873 à 1874 à l’emplacement d’un édifice précédent, construit par les templiers au XVe s. et détruit en 1797-1798 après avoir servi de cachette et de quartier général au chef chouan Jean-Marie Emery, lieutenant de Cadoudal.
En ruines dans les années 1970, elle fut sauvée et restaurée par une association.
Deux pardons annuels s’y déroulent désormais (le premier dimanche de mai et le troisième dimanche de septembre).
En ruines dans les années 1970, elle fut sauvée et restaurée par une association.
Deux pardons annuels s’y déroulent désormais (le premier dimanche de mai et le troisième dimanche de septembre).
Cet édifice, construit en 1870 avec les pierres de l’ancienne chapelle de Rosnarho, servait à l’origine de tour de guet (vue sur le golfe du Morbihan).