Grâces
Petite commune de l'ouest des Côtes-d'Armor, Grâces (2 404 habitants) est située dans le Trégor, à trois kilomètres à l'ouest du centre de Guingamp.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouisy, ce territoire est d'abord connu sous le nom de paroisse de Saint-Michel. Au Moyen Age, une maladrerie est établie au lieu-dit de la Madeleine.
Le monastère des Cordeliers de Guingamp ayant été détruit par le feu lors du siège de la ville en 1591, les moines s'établissent en 1602 dans la chapelle Notre-Dame-de-Grâces, au village de la Boissière.
En 1790, la paroisse de Saint-Michel est détachée de Plouisy et rattachée à la ville de Guingamp. Ce n'est qu'en 1794 que la nouvelle commune prend le nom de Grâce (Grâces en 1877) et qu'un nouveau bourg se forme autour de la chapelle, qui devient le siège d'une nouvelle paroisse en 1803.
Le maquis de Grâces participa activement à la libération de Guingamp en août 1944.
Dans les années 1960, une zone industrielle s'implante sur le territoire de la commune.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouisy, ce territoire est d'abord connu sous le nom de paroisse de Saint-Michel. Au Moyen Age, une maladrerie est établie au lieu-dit de la Madeleine.
Le monastère des Cordeliers de Guingamp ayant été détruit par le feu lors du siège de la ville en 1591, les moines s'établissent en 1602 dans la chapelle Notre-Dame-de-Grâces, au village de la Boissière.
En 1790, la paroisse de Saint-Michel est détachée de Plouisy et rattachée à la ville de Guingamp. Ce n'est qu'en 1794 que la nouvelle commune prend le nom de Grâce (Grâces en 1877) et qu'un nouveau bourg se forme autour de la chapelle, qui devient le siège d'une nouvelle paroisse en 1803.
Le maquis de Grâces participa activement à la libération de Guingamp en août 1944.
Dans les années 1960, une zone industrielle s'implante sur le territoire de la commune.
Cette croix a été érigée en 1646 en mémoire du gardien du couvent des Cordeliers, Guillaume Le Court, assassiné par deux moines le 13 juin de la même année. Une gwerz conte cette histoire. Elevée sur les lieux du crime, près du manoir de Keravel, la croix est cachée durant la Révolution et transférée dans le cimetière paroissial en 1891.
Il date probablement de la fin du XIXe s.