Guiclan
Commune du Nord-Finistère, Guiclan (2 529 habitants) est située en Haut-Léon, à 15 kilomètres à l’ouest de Morlaix.
Le territoire de Guiclan comprend l’une des rares grottes de Bretagne (Roc’h Toul) connue pour avoir été habitée par l’homme à l’époque préhistorique.
Paroisse primitive mentionnée pour la première fois en 1363, sous le nom de Ploulan, Guiclan est le berceau de la célèbre famille Kersauson, dont l’origine remonte au moins au XIIIe s.
Le territoire de Guiclan comprend l’une des rares grottes de Bretagne (Roc’h Toul) connue pour avoir été habitée par l’homme à l’époque préhistorique.
Paroisse primitive mentionnée pour la première fois en 1363, sous le nom de Ploulan, Guiclan est le berceau de la célèbre famille Kersauson, dont l’origine remonte au moins au XIIIe s.
On trouve à Guiclan l’une des si rares grottes préhistoriques de Bretagne. Longue d’une quarantaine de mètres et découverte en 1868 par le docteur Le Hir sur la rive gauche de la Penzé, elle a livré entre 200 et 300 silex taillés datant de l’épipaléolithique (10 000 ans avant J.-C.).
Il est construit en 1870 pour le comte Albert de Kerouartz.
L’édifice, la chapelle et l’ensemble de la propriété sont cédés en 1894 par sa fille, Mère Marie-Caroline de Kerouartz, aux missionnaires d’Haïti qui y établissent le séminaire de Saint-Jacques.
L’édifice, la chapelle et l’ensemble de la propriété sont cédés en 1894 par sa fille, Mère Marie-Caroline de Kerouartz, aux missionnaires d’Haïti qui y établissent le séminaire de Saint-Jacques.
Construite au XVIIe s., elle est restaurée et en grande partie reconstruite selon les plans de l’architecte Edouard Puyo.
Dominant la vallée de la Penzé, non loin du château de Penhoat, cette petite chapelle rectangulaire date sans doute principalement du XVIe s., mais a été remaniée à plusieurs reprises depuis.
Dépendant autrefois du manoir de Notéric, elle abrite plusieurs statues.
Dépendant autrefois du manoir de Notéric, elle abrite plusieurs statues.
Ancienne chapelle privative du château de Lézérazien (aujourd’hui centre missionnaire), cet édifice fut construit en 1869 dans un style gothique pour abriter les reliques de saint Jacques remises par le pape Pie IX au comte de Kerouartz.
- Elle est bâtie au XXe s. selon les plans de l’architecte morlaisien Heuzé.
Elevé au XVe s., il est haut de 6 mètres. Une belle Pietà figure au revers du Crucifix. En-dessous, un diable et un jongleur sont représentés de chaque côté du croisillon.
Haut de 4,50 m, il fut dressé au XVe s. Au revers du Crucifix se trouve une Vierge à l’Enfant.
Daté de la première moitié du XVIIe s. (on peut y lire encore les dates de 1622 et 1633), ce calvaire, haut de 4,50 mètres fut en grande partie mutilé, ne conservant plus que le socle, le fût et le croisillon. Le crucifix et les deux statues que l’on peut voir de nos jours ont été rajoutés au XXe s.
Haut de 5,50 mètres, il date de 1642 et fut restauré en 1889. Les statues géminées représentent notamment saint Jean et sainte Catherine.
Œuvre du sculpteur Yan Lar’hantec, cette croix, haute de 6 mètres, fut élevée en 1875 aux frais du comte de Kerouartz.
Haute de 3,50 m, cette croix monolithe date du XVIe s.
Elle date du XIXe s.
Il présente trois faces. Deux d’entre elles recensent les noms des victimes des deux conflits mondiaux, tandis que sur la troisième deux bas-reliefs, réalisés par René Quillivic en 1922, montrent un soldat de profil et un couple de Bretons affligés.