Guidel
Ville du sud-ouest du Morbihan, Guidel (9 973 habitants) est située sur la rive gauche de l’estuaire de la Laïta, face au Finistère (commune de Clohars-Carnoët), à 12 kilomètres à l’ouest de Lorient.
Station balnéaire baignée par l’Atlantique, la commune comprend plusieurs plages, certaines réputées pour la pratique du surf.
La présence de plusieurs mégalithes témoigne d’une forte présence humaine au Néolithique.
Paroisse primitive fondée par les immigrés bretons au Ve ou VIe s., Guidel relève d’abord au Moyen Age de la grande seigneurie d’Hennebont (Kemenet-Héboé), puis de la châtellenie de la Roche-Moysan (propriété de la famille de Guéméné). Les Anglais y débarquent en 1746.
Durant la Seconde Guerre mondiale, elle subit les combats de la « poche de Lorient » (août 1944-mai 1945).
Dans la seconde moitié du XXe s., la commune se développe comme cité-dortoir de Lorient.
Le pont Saint-Maurice, permettant de franchir la Laïta, permet de désenclaver Guidel à partir de 1954.
Station balnéaire baignée par l’Atlantique, la commune comprend plusieurs plages, certaines réputées pour la pratique du surf.
La présence de plusieurs mégalithes témoigne d’une forte présence humaine au Néolithique.
Paroisse primitive fondée par les immigrés bretons au Ve ou VIe s., Guidel relève d’abord au Moyen Age de la grande seigneurie d’Hennebont (Kemenet-Héboé), puis de la châtellenie de la Roche-Moysan (propriété de la famille de Guéméné). Les Anglais y débarquent en 1746.
Durant la Seconde Guerre mondiale, elle subit les combats de la « poche de Lorient » (août 1944-mai 1945).
Dans la seconde moitié du XXe s., la commune se développe comme cité-dortoir de Lorient.
Le pont Saint-Maurice, permettant de franchir la Laïta, permet de désenclaver Guidel à partir de 1954.
Construit en 1756 sur ordre du duc d’Aiguillon - dix ans après un débarquement anglais - pour défendre Lorient, il est réaménagé en 1847 et durant l’occupation allemande, mais n’a jamais véritablement servi en temps de guerre. A l’état de ruines après la Seconde Guerre mondiale, il est restauré par le prince de Polignac. Un pont-levis permet de franchir le grand fossé
Edifiée en 1870 à l’initiative du recteur Jaffre, elle comporte des angles surmontés de pinacles et des contreforts rajoutés après la Seconde Guerre mondiale. Depuis 1984, une association y organise un « pardon-pèlerinage » annuel, le dimanche suivant le 15 août.