Guiscriff
Commune du nord-ouest du Morbihan (Cornouaille Morbihannaise), Guiscriff (2 307 habitants) est frontalière du Finistère, à 42 kilomètres à l’est de Quimper et à 50 km au nord-ouest de Lorient.
La présence humaine dans la région est très ancienne, comme l’attestent plusieurs mégalithes.
Grande paroisse primitive du centre Bretagne mentionnée pour la première fois en 1058, elle englobait également à l’origine le territoire de Lanvénégen. Guiscriff est cédée au XIe s. aux moines de Sainte-Croix de Quimperlé, qui y fondent un prieuré à Pont-Briant. Les chevaliers de Saint-jean-de-Jérusalem y étaient également possessionnés. La paroisse relève du diocèse de Cornouaille jusqu’à la Révolution française. C’est à cette époque, que Guiscriff, bastion chouan, est rattachée au Vannetais.
Dominée par les familles nobles de Gournois et de Kervelaouenne, la paroisse participe à la révolte des Bonnets rouges de 1675.
La présence humaine dans la région est très ancienne, comme l’attestent plusieurs mégalithes.
Grande paroisse primitive du centre Bretagne mentionnée pour la première fois en 1058, elle englobait également à l’origine le territoire de Lanvénégen. Guiscriff est cédée au XIe s. aux moines de Sainte-Croix de Quimperlé, qui y fondent un prieuré à Pont-Briant. Les chevaliers de Saint-jean-de-Jérusalem y étaient également possessionnés. La paroisse relève du diocèse de Cornouaille jusqu’à la Révolution française. C’est à cette époque, que Guiscriff, bastion chouan, est rattachée au Vannetais.
Dominée par les familles nobles de Gournois et de Kervelaouenne, la paroisse participe à la révolte des Bonnets rouges de 1675.
Elle a été édifiée entre le XVe et le XVIe s.
Le socle de cette croix abrite une Pietà provenant d’un autre calvaire. Deux saintes femmes retiennent la Vierge.