Guissény
Petite commune du Nord-Finistère baignée par la Manche, Guissény (1 796 habitants) est située dans le Bas-Léon et en « pays pagan », à 35 kilomètres au nord de Brest.
A l’ouest de la commune s’étend le site naturel de la Palud, avec l’étang saumâtre du Curnic.
Des fouilles archéologiques ont permis de montrer une occupation très ancienne du territoire.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouseny, Guissény aurait été fondée à la fin du Ve s. par le moine irlandais saint Sezni. Elle englobait également à l’origine les territoires de Kerlouan et de Saint-Frégant.
Un prieuré, mentionné à la fin du XVIIe s., est établi à Saint-Gildas.
Jusqu’au Concordat de 1801, la paroisse releva de l’ancien diocèse de Léon. Elle dépendait de l’archidiaconé de Kemenet-Ily.
Les habitants des communes littorales de la région avaient la réputation d’être des naufrageurs, allumant des feux la nuit pour faire échouer les navires afin de les piller.
A l’ouest de la commune s’étend le site naturel de la Palud, avec l’étang saumâtre du Curnic.
Des fouilles archéologiques ont permis de montrer une occupation très ancienne du territoire.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouseny, Guissény aurait été fondée à la fin du Ve s. par le moine irlandais saint Sezni. Elle englobait également à l’origine les territoires de Kerlouan et de Saint-Frégant.
Un prieuré, mentionné à la fin du XVIIe s., est établi à Saint-Gildas.
Jusqu’au Concordat de 1801, la paroisse releva de l’ancien diocèse de Léon. Elle dépendait de l’archidiaconé de Kemenet-Ily.
Les habitants des communes littorales de la région avaient la réputation d’être des naufrageurs, allumant des feux la nuit pour faire échouer les navires afin de les piller.
Elle fut érigée par les hommes de l'âge du Fer, probablement à des fins funéraires.
Faisant partie de l’ensemble conçu par Vauban pour protéger les côtes françaises, il est construit à la fin du XVIIe s. à la pointe du Dibennou pour surveiller l’entrée de la baie de Guissény.
Fondé par les seigneurs de Penmarc’h, cet édifice est bâti en 1556 au village de Brendaouëz en faveur des moines carmes. Modifiée et agrandie au XVIIe s. (1607 et 1656), la chapelle se trouve à l’état de ruine après la Révolution française et doit être presque entièrement reconstruite en 1874.
Erigée au XVe s. à Keriber, cette croix de 7 mètres de haut, dite de Croas an Aot, est déplacée en bord de mer en 1867. Elle porte la mention d’une mission en 1863 et d’un jubilé en 1868.
Disposant d’une table d’offrande et orné de fleurons et d’un petit chapiteau, le monument présent le blason de la famille des seigneurs de Poulpry.
Disposant d’une table d’offrande et orné de fleurons et d’un petit chapiteau, le monument présent le blason de la famille des seigneurs de Poulpry.
Haute de 4 m, cette croix monolithe est élevée au XVIe s.
Construit au XVIIe s., ce petit édicule abrite la statue de saint Weltaz. Le blason (trois oisillons) représente les armes des seigneurs de Gouzillon.
Elle est située à proximité de la chapelle Notre-Dame-des-Carmes.