La Chapelle-Neuve
Petite commune du centre du Morbihan, La Chapelle-Neuve (734 habitants) est située entre Baud et Locminé, à 34 kilomètres au nord-ouest de Vannes et à 39 km au nord-est de Lorient.
La présence d’un mégalithe atteste d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Plumelin, La Chapelle-Neuve serait une fondation des seigneurs de Rohan. Ce n’est qu’en 1847/1848 qu’elle se sépare religieusement de Plumelin. La commune n’est créée que sous Napoléon III, en juin 1867.
La présence d’un mégalithe atteste d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Plumelin, La Chapelle-Neuve serait une fondation des seigneurs de Rohan. Ce n’est qu’en 1847/1848 qu’elle se sépare religieusement de Plumelin. La commune n’est créée que sous Napoléon III, en juin 1867.
Situé dans la forêt de Floranges, ce monument mégalithique fait partie d’un ensemble plus vaste érigé par les hommes du IVe millénaire avant J.-C. Le site a été réutilisé à plusieurs reprises par divers peuples au cours des siècles suivant.
Construite au XVe s. dans le style gothique par les seigneurs de Rohan, l’édifice est d’abord une chapelle portant le notre de Itron Varia er Fons (« Notre-Dame-de-la-Fontaine »). C’est à l’origine un lieu de pèlerinage. Les enfants y sont conduits par leurs parents pour y être placés sous la protection de la Vierge afin d’éviter les fièvres.
Elle est modifiée aux siècles suivants (chœur polygonal du XVIe s., porche occidental au XVIIIe s., etc.). Le chevet à trois pans est dit de type Beaumanoir.
Elle est modifiée aux siècles suivants (chœur polygonal du XVIe s., porche occidental au XVIIIe s., etc.). Le chevet à trois pans est dit de type Beaumanoir.
Située près du cimetière, cette croix de style celtique porte la date de 1745.
Bâtie en 1698 en contrebas de l’église, elle est restaurée en 1979. Son eau avait autrefois la réputation de guérir les fièvres.
Construit au XVIe s., le porche de l’ancien manoir de Boterff comprend deux passages, pour les piétons et les chevaux. Les familles Langle et Sarrazin y ont laissé leurs armoiries.
Elle honore quatre hommes tombés pour la France en 1944 et 1945.