Lampaul-Ploudalmézeau
Petite commune du Nord-Finistère, Lampaul-Ploudalmézeau (670 habitants) est située en Léon, à 26 kilomètres au nord de Brest.
Bien que largement baignée par la mer d’Iroise, la commune ne dispose pas de port.
La présence d’un dolmen témoigne d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Ploudalmézeau, Lampaul-Ploudalmézeau trouve son origine dans la fondation, au VIe s., d’un ermitage par saint Pol Aurélien. Erigée en paroisse au XIVe ou début du XVe s., elle dépendit jusqu’à la Révolution française du diocèse de Léon et de la sénéchaussée de Brest et de Saint-Renan.
C’est à Lampaul-Ploudalmézeau que fut créée la première école Diwan, en 1977.
Bien que largement baignée par la mer d’Iroise, la commune ne dispose pas de port.
La présence d’un dolmen témoigne d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Ploudalmézeau, Lampaul-Ploudalmézeau trouve son origine dans la fondation, au VIe s., d’un ermitage par saint Pol Aurélien. Erigée en paroisse au XIVe ou début du XVe s., elle dépendit jusqu’à la Révolution française du diocèse de Léon et de la sénéchaussée de Brest et de Saint-Renan.
C’est à Lampaul-Ploudalmézeau que fut créée la première école Diwan, en 1977.
Quelque peu démantelée, elle se trouve en partie ensablée dans les dunes.
Surnommée Croas Ven (« la croix blanche »), cette stèle, haute de 1,80 m, est érigée par les Celtes de l’âge du fer et christianisée au Moyen Age.
Construite au XVIe s., avec un chevet à pans coupés de style Beaumanoir, l’église est grande partie détruite en 1855 par la foudre. L’édifice est restauré par l’architecte Le Guerrannic dès 1856.
Haut de 5 mètres, il fut élevé au XIXe s.
Erigée sur un rocher, cette croix pattée n’est haute que de 80 centimètres.
Selon la légende, le premier évêque de Léon aurait succédé à son disciple saint Jaoua près de cette fontaine. Restaurée en 1952, elle est située dans l’enclos.