Landéda
Commune du Nord-Finistère baignée par la Manche, Landéda (3 519 habitants) est située en Bas-Léon, à 28 kilomètres au nord de Brest.
Elle forme l’extrémité de la presqu’île comprise entre l’Aber Wrac’h et l’Aber Benoît. Un port de plaisance (320 bateaux) a été créé sur l’Aber Wrac’h, tandis que l’Aber Benoît abrite un port de goémoniers, au Vill.
Le territoire de la commune était occupé dès le Néolithique (île Guénioc).
Démembrement de la paroisse de Ploudiner (XIVe s.), Landéda dépendait de l’archidiaconé de Kemenet-Ilu et releva de l’ancien diocèse de Léon jusqu’au Concordat de 1801.
En 1507, Tanguy du Chatel fonda l’abbaye de Cordeliers de Notre-Dame des Anges.
De 1791 à 1829, le quartier de Brouennou fut une commune indépendante.
Elle forme l’extrémité de la presqu’île comprise entre l’Aber Wrac’h et l’Aber Benoît. Un port de plaisance (320 bateaux) a été créé sur l’Aber Wrac’h, tandis que l’Aber Benoît abrite un port de goémoniers, au Vill.
Le territoire de la commune était occupé dès le Néolithique (île Guénioc).
Démembrement de la paroisse de Ploudiner (XIVe s.), Landéda dépendait de l’archidiaconé de Kemenet-Ilu et releva de l’ancien diocèse de Léon jusqu’au Concordat de 1801.
En 1507, Tanguy du Chatel fonda l’abbaye de Cordeliers de Notre-Dame des Anges.
De 1791 à 1829, le quartier de Brouennou fut une commune indépendante.
Destiné à protéger le port de l’Aber-Wrac’h d’une descente anglaise, le fort est construit par le maréchal Vauban de 1694 à 1695 sur une île accessible à marée basse. Pendant deux siècles, le site accueillit tout un ensemble de bâtiment ainsi que la capitaine de l’Aber-Wrac’h.
Abandonné en 1889, le fort renaît durant la Seconde Guerre mondiale et plusieurs bunkers sont ajoutés.
Abandonné en 1889, le fort renaît durant la Seconde Guerre mondiale et plusieurs bunkers sont ajoutés.
Dite aussi chapelle de Troménec ou Notre-Dame-de-Penfeunteun, elle fut construite dans un style gothique au XVe s. Elle dépendait autrefois du manoir fortifié de Troménec.
L’édifice actuel a remplacé en 1852 une chapelle édifiée au XVIe ou XVIIe s. dans les dunes surplombant l’anse des Anges.
Construite dans l’anse de Brouennou entre 1605 et 1608, la chapelle, qui abrite des reliques de saint Gouesnou, sert d’abord d’église pour la paroisse de Brouennou, avec enclos, ossuaire et cimetière.
Déserté à la suite de la réunion avec la paroisse de Landéda, l’édifice tombe en ruines et doit être entièrement reconstruit en 1857, ne conservant du bâtiment précédent que le clocheton, une fenêtre et un œil-de-bœuf.
Déserté à la suite de la réunion avec la paroisse de Landéda, l’édifice tombe en ruines et doit être entièrement reconstruit en 1857, ne conservant du bâtiment précédent que le clocheton, une fenêtre et un œil-de-bœuf.
Elevée au Haut Moyen-Age, cette croix monolithe pattée de 2 mètres de haut est située près de la chapelle Saint-Eveltoc.
Haute de un mètre, cette croix date du XVIe s.
Elle est réalisée au XXe s.
Construite au début du XVIe s. près d’une chapelle aujourd’hui disparue, cette fontaine possède un édicule gothique. Après avoir alimenté le lavoir, l’eau de la source se déverse dans l’Aber Wrac’h.