Landivisiau
Située entre Brest (à 36 kilomètres) et Morlaix (à 22 km), la ville de Landivisiau (8 751 habitants) fait partie du Léon.
Son origine remonte sans doute à la fondation d’un établissement monastique au haut Moyen Age. Jusqu’à la Révolution française, Landivisiau resta une trêve de la petite commune voisine de Plougourvest. Située au cœur du pays de la toile bretonne, elle s’enrichit aux XVIe et XVIIe s. Au XIXe s. les tanneries emploient un grand nombre de personnes.
Capitale du cheval breton, elle abrite une foire annuelle aux chevaux.
Son origine remonte sans doute à la fondation d’un établissement monastique au haut Moyen Age. Jusqu’à la Révolution française, Landivisiau resta une trêve de la petite commune voisine de Plougourvest. Située au cœur du pays de la toile bretonne, elle s’enrichit aux XVIe et XVIIe s. Au XIXe s. les tanneries emploient un grand nombre de personnes.
Capitale du cheval breton, elle abrite une foire annuelle aux chevaux.
Le bâtiment actuel fut construit en 1863-1864 sur l’emplacement de l’ancienne église édifiée en 1554. On a conservé cependant deux éléments du XVIe s. : le clocher-porche et le porche sud.
Construite vers 1585 pour servir d’ossuaire, restaurée de 1610 à 1620, cette petite chapelle funéraire était à l’origine située près de l’église, avant que le cimetière ne soit transféré à son emplacement actuel en 1832.
Proche de l’église et du presbytère, cet édifice date de 1874.
Haute de 4 mètres, elle est élevée au Moyen Age.
Œuvre du célèbre sculpteur morlaisien Yann Larhantec, cette croix, haute de 7 mètres, date de 1865.
Située le long de la route menant à Plouvorn, cette croix, haute de 4,50 m, est dressée en 1892.
Edifiée au XXe s., cette croix est haute de 3,50 m.
Elevée en 1906 place du Champ-de-Foire, cette croix haute de 3 mètres fut déplacée en 1955 dans un petit square jouxtant la route de Morlaix.
Le lavoir est aménagé à la fin du XIXe s. avec l’ajout d’une charpente métallique.
L’une des dernières survivantes de la quarantaine de tanneries que comptait la ville autrefois. Celle-ci date du XVIIIIe s. ou du début du XIXe s.
Elle est située à Pont-Croix, sur la route menant à Lampaul-Guimiliau, autre commune où les tanneries jouèrent un rôle important dans l’économie locale.
Construit en 1848 pour abriter la mairie, ce bâtiment servit de kommandantur durant l’Occupation allemande. De la construction du nouvel hôtel de ville (1982) à 2005, il fut occupé par la perception.
Elle fut inaugurée en juin 1982.
Construite en 1863 sur la ligne Paris-Brest et réaménagée en 1928, elle fut au XIXe s. la plus importante gare d’Europe pour l’expédition de chevaux.
Utilisée par les cheminots résistants durant la Seconde Guerre mondiale, elle fut bombardée à l’été 1944.
La gare est détruite en 2019 pour laisser la place à un bâtiment plus petit et plus moderne.
Utilisée par les cheminots résistants durant la Seconde Guerre mondiale, elle fut bombardée à l’été 1944.
La gare est détruite en 2019 pour laisser la place à un bâtiment plus petit et plus moderne.
Elle fut construite en 1925 dans un style régionaliste très caractéristique.
Il fut dressé en 1923 avec la liste des 168 Landivisiens morts pendant la Grande Guerre, sur les plans du chanoine Jean-Marie Abgrall, architecte diocésain originaire de la commune voisine de Lampaul-Guimiliau.
Œuvre de Roger Joncourt, Cette statue fut inaugurée en 1991 près de la bibliothèque municipale. Natif de Landivisiau, Xavier Graal (1930-1981), journaliste, romancier et poète, s’est battu toute sa vie pour la reconnaissance de l’identité bretonne.
Commandé en même temps que le projet de la nouvelle mairie voisine, ce monument dédié au Cheval breton fut inauguré le 28 décembre 1983. Cette œuvre de Roger Joncourt représente un étalon en laiton de 2,50 m de haut.