Lanfains
Petite commune du centre des Côtes-d'Armor, Lanfains (1 016 habitants) est située près de Quintin, à vingt-cinq kilomètres au sud-ouest de Saint-Brieuc. C'est l'une des communes les plus hautes de Bretagne, l'église se trouvant à 310 mètres d'altitude.
Démembrement de la paroisse primitive de Plaintel, Lanfains naît probablement au haut Moyen Age à la suite de la fondation d'un ermitage.
Sous l'Ancien Régime, elle relève religieusement du diocèse de Saint-Brieuc et dépend au civil du ressort de Saint-Brieuc (avec pour sudélégation Quintin).
De 1790 à 1801, la commune est le chef-lieu d'un canton.
Outre l'agriculture, l'économie locale tourne à partir du XIXe s. autour des forges du Pas (1828-1978) et de la collecte des chiffons et peaux par les « pillotoux » (l'équivalent du « pilhaouer » des monts d'Arrée).
En 1829, Lanfains s'agrandit aux dépens de Saint-Brandan, mais, dix ans plus tard, doit céder les villages de la Cave-aux-Loups et des Aulnais à L'Hermitage.
Démembrement de la paroisse primitive de Plaintel, Lanfains naît probablement au haut Moyen Age à la suite de la fondation d'un ermitage.
Sous l'Ancien Régime, elle relève religieusement du diocèse de Saint-Brieuc et dépend au civil du ressort de Saint-Brieuc (avec pour sudélégation Quintin).
De 1790 à 1801, la commune est le chef-lieu d'un canton.
Outre l'agriculture, l'économie locale tourne à partir du XIXe s. autour des forges du Pas (1828-1978) et de la collecte des chiffons et peaux par les « pillotoux » (l'équivalent du « pilhaouer » des monts d'Arrée).
En 1829, Lanfains s'agrandit aux dépens de Saint-Brandan, mais, dix ans plus tard, doit céder les villages de la Cave-aux-Loups et des Aulnais à L'Hermitage.
Le bâtiment actuel est construit en 1711 et restauré en 1979.
Bâtie en 1546 en contrebas de l'église, elle est reconstruite en 1778. Selon la légende, son eau pouvait guérir les maladies des yeux.
Aménagée au XIXe s. près de la fontaine Notre-Dame-de-la-Clarté, elle alimente un lavoir.