Lanvénégen
Petite commune du nord-ouest du Morbihan, Lanvénégen (1 184 habitants) se trouve à la frontière du Finistère, à 38 kilomètres au nord de Lorient.
Démembrement de la paroisse primitive de Guiscriff, Lanvénégen dépendit du diocèse de Cornouaille jusqu’au Concordat de 1801. A cette date, elle fut rattachée à l’évêché de Vannes. La paroisse fut touchée par la révolte des Bonnets rouges, en 1675. Devenue indépendante en 1790, la commune fut le chef-lieu d’un canton jusqu’en 1801.
Une carrière de kaolin fut exploitée à Lanvénégen entre les années 1930 et 1960. Plusieurs faits liés à la résistance et aux combats de la Libération s’y déroulèrent en 1944.
Démembrement de la paroisse primitive de Guiscriff, Lanvénégen dépendit du diocèse de Cornouaille jusqu’au Concordat de 1801. A cette date, elle fut rattachée à l’évêché de Vannes. La paroisse fut touchée par la révolte des Bonnets rouges, en 1675. Devenue indépendante en 1790, la commune fut le chef-lieu d’un canton jusqu’en 1801.
Une carrière de kaolin fut exploitée à Lanvénégen entre les années 1930 et 1960. Plusieurs faits liés à la résistance et aux combats de la Libération s’y déroulèrent en 1944.
Elle date de la fin du XVIe s. ou du début du XVIIe s.
Elle a été construite au XVIIe s. au bord de la Naic (sur l’autre rive se trouve la commune Querrien, en Finistère).