Le Drennec
Petite commune du nord-ouest du Finistère, Le Drennec (1 707 habitants) est située en Bas-Léon, entre l’Aber-Wrac’h et l’Aber-Benoît, à à 20 kilomètres au nord-est de Brest.
Son territoire est traversé du nord au sud par la voie romaine Aber-Wrac’h - Landerneau.
Démembrement de la paroisse de Plabennec, Le Drennec releva jusqu’au Concordat de 1801 de l’ancien diocèse de Léon ; sous l’Ancien Régime, elle dépendait de l’archidiaconé de Quemenedilly.
En 1793, la commune du Drennec absorba la paroisse de Bréventec (ancien prieuré de l’abbaye Saint-Mathieu). De 1790 à 1798, le village de Landouzan existait en tant que commune.
Trève de la paroisse du Drennec, Landouzan a été commune de 1790 à l’an VII (1798).
Son territoire est traversé du nord au sud par la voie romaine Aber-Wrac’h - Landerneau.
Démembrement de la paroisse de Plabennec, Le Drennec releva jusqu’au Concordat de 1801 de l’ancien diocèse de Léon ; sous l’Ancien Régime, elle dépendait de l’archidiaconé de Quemenedilly.
En 1793, la commune du Drennec absorba la paroisse de Bréventec (ancien prieuré de l’abbaye Saint-Mathieu). De 1790 à 1798, le village de Landouzan existait en tant que commune.
Trève de la paroisse du Drennec, Landouzan a été commune de 1790 à l’an VII (1798).
Située dans l’enclos de la chapelle Saint-Ursin, cette stèle hexagonale, qui date de l’âge du fer, est ainsi nommée car, selon la légende, saint Ursin y aurait attaché un dragon pour diriger la messe. Le monstre aurait ensuite été noyé dans un marais proche.
Cette pierre taillée, haute de 80 centimètres, prouve que le site était déjà un lieu de culte à l’âge du fer.
Située à Loc-Mazé, elle fut construite au Moyen Age par la famille de Coëtélez comme prieuré du monastère de Saint-Mathieu. Reconstruit à la fin du XVIIIe s., l’édifice actuel, laissé à l’abandon en 1928, tomba en ruines et fut restauré à partir de 1979.
Un pardon s’y déroule en août.
Un pardon s’y déroule en août.
Cet édifice est construit au village de Landouzan dans la première moitié du XVIe s., probablement à l’emplacement d’un bâtiment plus ancien et sur un site vénéré dès l’âge du fer (présence de stèles). La chapelle possédait autrefois son propre cimetière avec son arc triomphal. Elle tombe en ruines au début du XXe s. suite à la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Ses décorations intérieures sont alors transférées vers d’autres églises du Bas-Léon.
Les pierres de l’ancien ossuaire d’attache, accolé au porche sud, ont été récupérées pour servir à la réparation de l’église de Léchiagat. Des travaux de restauration sont entamés à partir de 1969.
Les pierres de l’ancien ossuaire d’attache, accolé au porche sud, ont été récupérées pour servir à la réparation de l’église de Léchiagat. Des travaux de restauration sont entamés à partir de 1969.
Elevé sur le mur de l’enclos de la chapelle Saint-Mathieu, il date du début du XVIIe s. (on peut y lire la date « 161. »).
Haute d’un mètre, cette croix monolithe pattée date du Moyen Age.
Elle date elle aussi du Moyen Age.