Le Faou
Petite commune du centre Finistère, Le Faou (1 669 habitants) est située à 29 kilomètres au sud-est de Brest et à 42 kilomètres au nord de Quimper.
Démembrement de la paroisse primitive d’Hanvec, Le Faou, qui dépendait de l’ancien diocèse de Cornouaille fut une trêve de Rosnoën jusqu’au Concordat de 1801. Une importante vicomté du Faou existait au Moyen Age, mais le fief fut partagé au début du XVe s. entre plusieurs familles (Quellenec, Guémadeuc, Rohan, Richelieu, Beaumanoir, Magon). Le Faou abritait six foires annuelles sous l’Ancien Régime.
Lieu de pèlerinage, le bourg de Rumengol ne fut rattaché au Faou qu’en 1970.
Démembrement de la paroisse primitive d’Hanvec, Le Faou, qui dépendait de l’ancien diocèse de Cornouaille fut une trêve de Rosnoën jusqu’au Concordat de 1801. Une importante vicomté du Faou existait au Moyen Age, mais le fief fut partagé au début du XVe s. entre plusieurs familles (Quellenec, Guémadeuc, Rohan, Richelieu, Beaumanoir, Magon). Le Faou abritait six foires annuelles sous l’Ancien Régime.
Lieu de pèlerinage, le bourg de Rumengol ne fut rattaché au Faou qu’en 1970.
La première église est probablement bâtie au bord de la rivière par les hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem au XIIe s. L’édifice actuel est reconstruit entre 1544 et 1680.
L’ancien cimetière est déménagé en 1868, tandis que l’ossuaire datant de 1603 a été détruit en 1892 afin d’élargir la route.
L’ancien cimetière est déménagé en 1868, tandis que l’ossuaire datant de 1603 a été détruit en 1892 afin d’élargir la route.
Construite en 1829 à l’est de Rumengol par le recteur Pouchous, elle fut abandonnée et tomba en ruines.
Erigée en 1871 entre le bourg principal et le village de Rumengol, cette croix est peut-être l’une des œuvres du célèbre sculpteur Lar’hantec. Le socle est gravé d’éléments de la Passion. Une plaque mentionne une mission réalisée en 1945.
Située dans le bourg du Rumengol, cette fontaine, accessible par deux escaliers, date de 1792.
La demeure actuelle, bâtie en 1632 sur une maison du XVIe s., a été divisée en deux maisons, avec commerces au rez-de-chaussée. L’ensemble a servi un temps de relais de poste à la fin du XVIIIe s.
Construite au XVIe s., cette maison de pays est agrandie au milieu du XVIIe s. La modification de la route Quimper-Landerneau entraîne son déplacement en 1764. Au XIXe s., elle sert d’auberge. Acquise par la municipalité, elle abrite de nos jours une exposition consacrée à la commune.
Il honore la mémoire des habitants du village tombés durant la Grande Guerre.