Le Faouët
Toute petite commune du nord des Côtes-d'Armor, Le Faouët (322 habitants), à trente-six kilomètres au nord-ouest de Saint-Brieuc.
Les découvertes archéologiques attestent d'une importante présence humaine à l'époque gallo-romaine sur ce territoire forestier traversé par la voie Lanvollon-Pontrieux
Démembrement de la paroisse primitive de Pommerit, Le Faouët voit la construction d'une motte féodale et de diverses fortifications au haut Moyen-Age.
Mentionné pour la première fois en 1330, le village est défini comme « trève de Quemper-Guezennec ». Sous l'Ancien Régime, la paroisse relève de l'ancien diocèse de Tréguier. Il a pour subdélégation Pontrieux et ressort au siège royal de Lannion.
On y cultive le chanvre jusqu'en 1925 et le lin y est encore teillé en 1956.
Les découvertes archéologiques attestent d'une importante présence humaine à l'époque gallo-romaine sur ce territoire forestier traversé par la voie Lanvollon-Pontrieux
Démembrement de la paroisse primitive de Pommerit, Le Faouët voit la construction d'une motte féodale et de diverses fortifications au haut Moyen-Age.
Mentionné pour la première fois en 1330, le village est défini comme « trève de Quemper-Guezennec ». Sous l'Ancien Régime, la paroisse relève de l'ancien diocèse de Tréguier. Il a pour subdélégation Pontrieux et ressort au siège royal de Lannion.
On y cultive le chanvre jusqu'en 1925 et le lin y est encore teillé en 1956.
L'édifice actuel a été construit de 1885 à 1887 selon les plans de l'architecte Théodore Maignan.
Fondée par les seigneurs de Coatmen, elle est bâtie à la fin du XVe s. au village de Kergrist en l'honneur de Notre-Dame de la Merci. Effondré en 1648, le pignon occidental a été renforcé par de puissants contreforts lors de sa reconstruction effectuée en 1650. Elle est vendue comme bien national en 1794.
Présentant un Crucifix et un Christ aux liens, ce calvaire date de la fin du XVIe s.