Le Merzer
Petite commune de l'ouest des Côtes-d'Armor, Le Merzer (906 habitants) est située à six kilomètres à l'est de Guingamp.
Démembrement de la paroisse primitive de Ploumagoar, le village serait né à la suite du vœu du seigneur de Traou de fonder une chapelle en expiation d'un crime qu'il avait commis.
Les hospitaliers de la commanderie de La Feuillée y possédaient autrefois des terres et une chapelle Saint-Jean (aujourd'hui disparue).
Divisée sous l'Ancien Régime en un « Grand » et un « Petit Merzer », la paroisse relevait religieusement de l'ancien diocèse de Tréguier et dépendait au civil de la subdélégation de Guingamp et du ressort de Lannion.
Le Merzer, qui avait pour principal seigneur le duc de Lorges, est l'une des rares paroisses où le cahier de doléances fut rédigé uniquement par des paysans.
Démembrement de la paroisse primitive de Ploumagoar, le village serait né à la suite du vœu du seigneur de Traou de fonder une chapelle en expiation d'un crime qu'il avait commis.
Les hospitaliers de la commanderie de La Feuillée y possédaient autrefois des terres et une chapelle Saint-Jean (aujourd'hui disparue).
Divisée sous l'Ancien Régime en un « Grand » et un « Petit Merzer », la paroisse relevait religieusement de l'ancien diocèse de Tréguier et dépendait au civil de la subdélégation de Guingamp et du ressort de Lannion.
Le Merzer, qui avait pour principal seigneur le duc de Lorges, est l'une des rares paroisses où le cahier de doléances fut rédigé uniquement par des paysans.
Construite de 1885 à 1886 selon les plans de l'architecte Le Guerrannic, elle a conservé une labe de l'édifice du XVIe s.
Elle est érigée au XVe s. dans l'ancien cimetière.