Le Relecq-Kerhuon
Ville du nord-ouest du Finistère, Le Relecq-Kerhuon (10 746 habitants) est située, au fond de la rade de Brest, sur la rive droite de l’Elorn, dans la banlieue orientale de Brest.
La présence de stèles atteste d’une occupation humaine à l’âge du fer.
Démembrement de la paroisse primitive de Ploubavas, Le Relecq-Kerhuon fut jusqu’à la fin du XIXe s. un simple village de pêcheurs dépendant de Guipavas. La commune ne fut créée qu’en 1896. La paroisse du Relecq avait été créée précédemment, en 1869.
Au Camfrout se trouvait autrefois un prieuré fondé par l’abbaye de Daoulas.
Au XVIIIe s., la marine royale de Brest établit des parcs à bois dans l’anse de Kerhuon. Aux siècles suivants une poudrerie nationale et centre de pyrotechnie s’y implantèrent également.
Bien que de petite taille en superficie, la commune du Relecq-Kerhuon est la dixième plus grande ville du Finistère en terme d’habitants. Un développement favorisé par la proximité de Brest et l’installation dans la commune d’une importante population ouvrière.
La présence de stèles atteste d’une occupation humaine à l’âge du fer.
Démembrement de la paroisse primitive de Ploubavas, Le Relecq-Kerhuon fut jusqu’à la fin du XIXe s. un simple village de pêcheurs dépendant de Guipavas. La commune ne fut créée qu’en 1896. La paroisse du Relecq avait été créée précédemment, en 1869.
Au Camfrout se trouvait autrefois un prieuré fondé par l’abbaye de Daoulas.
Au XVIIIe s., la marine royale de Brest établit des parcs à bois dans l’anse de Kerhuon. Aux siècles suivants une poudrerie nationale et centre de pyrotechnie s’y implantèrent également.
Bien que de petite taille en superficie, la commune du Relecq-Kerhuon est la dixième plus grande ville du Finistère en terme d’habitants. Un développement favorisé par la proximité de Brest et l’installation dans la commune d’une importante population ouvrière.
Cette grande pierre rainurée, haute de 2 mètres, est l’œuvre des hommes de l’âge du fer (vers le Ve s. avant J.-C.).
Construit entre 1895 et 1898 dans le style néoroman selon les plans de l’architecte Ernest Le Guerrannic, l’édifice actuel a remplacé la chapelle du bourg devenue trop petite pour accueillir toute la population du pays kerhorre.
L’édifice actuel est d’abord édifié de 1958 à 1959 à Kervalous selon les plans de l’architecte morlaisien à l’emplacement d’une chapelle bâtie au XVe s. par les Caillart de Keraret et vendue comme bien national durant la Révolution.
En 1991, la réalisation d’une route entraîne le démontage et la reconstruction à l’identique du bâtiment 60 mètres plus loin.
En 1991, la réalisation d’une route entraîne le démontage et la reconstruction à l’identique du bâtiment 60 mètres plus loin.
Haut de 5 mètres, il est élevé en 1621 dans l’ancien cimetière et restauré lors de la Mission de 1902. Le Crucifix est encadré par les statues de la Vierge et de saint Jean. Le blason présente les armoiries des seigneurs de Guengat et de Lossulien.
Enjambant l’Elorn, au fond de la rade de Brest, ce pont routier à haubans et à quatre voies fut construit à partir de 1994 entre Le Relecq-Kerhuon et Plougastel-Daoulas pour remplacer le vieux pont Albert-Louppe, dont les deux voies ne permettaient plus de faire face à l’augmentation du trafic sur l’axe Brest-Quimper. Long de 800 mètres, il fut inauguré par le Premier ministre Edouard Balladur le 12 juillet 1994. A cette époque, il détenait le record mondial de portée.