Lescouët-Gouarec
Toute petite commune du sud-ouest des Côtes-d'Armor, frontalière du Morbihan, Lescouët-Gouarec (209 habitants) est située à trente-quatre kilomètres de Carhaix, à cinquante-quatre km de Guingamp et à soixante-trois km de Lorient.
D'après son nom (les coat : « cour du bois »), le village se serait développé au haut Moyen-Age autour de la résidence d'un seigneur.
Démembrement de la paroisse primitive de Plélauff, Lescouët obtient son indépendance avant le XVIe s. Relevant pendant des siècles du diocèse de Vannes, elle est rattachée à l'évêché de Saint-Brieuc en 1801.
Du XIe s. à la Révolution française, le territoire est rattaché à la grande seigneurie de Guéméné, avec pour subdélégation Guéméné et pour ressort le siège royal d'Hennebont.
En 1836, la commune de Lescouët échange quelques terres avec Perret, tandis qu'en 1891, elle change de nom par décret, devenant Lescouët-Gouarec.
D'après son nom (les coat : « cour du bois »), le village se serait développé au haut Moyen-Age autour de la résidence d'un seigneur.
Démembrement de la paroisse primitive de Plélauff, Lescouët obtient son indépendance avant le XVIe s. Relevant pendant des siècles du diocèse de Vannes, elle est rattachée à l'évêché de Saint-Brieuc en 1801.
Du XIe s. à la Révolution française, le territoire est rattaché à la grande seigneurie de Guéméné, avec pour subdélégation Guéméné et pour ressort le siège royal d'Hennebont.
En 1836, la commune de Lescouët échange quelques terres avec Perret, tandis qu'en 1891, elle change de nom par décret, devenant Lescouët-Gouarec.
Bâtie à la fin du XVIIe s. pour remplacer un édifice plus ancien, l'église est reconstruite de 1847 à 1848 selon les plans de l'architecte en chef du département, Alphonse Guépin. La première pierre a été posée en 1682 par le seigneur Yves de Goësbriand, baron de Crenars.