Locarn
Toute petite commune de l'ouest des Côtes-d'Armor, Locarn (497 habitants) est située dans le Poher, entre Carhaix et Guingamp.
Le village trouverait son origine dans un ermitage fondé par saint Hernin vers 528.
Démembrement de la paroisse primitive de Mael, le territoire de Locarn se confond à l'origine avec la seigneurie de Quélen (connue depuis le XIIIe s.), devenue par la suite trêve de Duault. La terre de Quélen est érigée en baronnie au XVIe s.
Jusqu'à la Révolution française, la localité dépend au religieux du diocèse de Quimper et au civil de la subdélégation de Callac.
L'importante carrière d'ardoise du Bois de Mezle fut exploitée du XIXe s. jusqu'à la Seconde Guerre mondiale.
Le village trouverait son origine dans un ermitage fondé par saint Hernin vers 528.
Démembrement de la paroisse primitive de Mael, le territoire de Locarn se confond à l'origine avec la seigneurie de Quélen (connue depuis le XIIIe s.), devenue par la suite trêve de Duault. La terre de Quélen est érigée en baronnie au XVIe s.
Jusqu'à la Révolution française, la localité dépend au religieux du diocèse de Quimper et au civil de la subdélégation de Callac.
L'importante carrière d'ardoise du Bois de Mezle fut exploitée du XIXe s. jusqu'à la Seconde Guerre mondiale.
Les landes du Guellec abritent sept menhirs, dont celui-ci.
Elle est construite par le comte de Quélen à la fin du XVIe s. à l'emplacement de la tombe de saint Hernin. Selon la légende, un cerf que le seigneur chassait se serait réfugié sur le tombeau.
L'édifice est profondément restauré et remanié par l'architecte Ernest Le Guerrannic entre 1894 et 1900 (clocher et nef).
L'édifice est profondément restauré et remanié par l'architecte Ernest Le Guerrannic entre 1894 et 1900 (clocher et nef).
Dite aussi « Chapel Nevez », elle est bâtiee en 1631 ou en 1663 près du Guellec.
Le diable l'aurait construite en une nuit en l'échange de l'âme de la première personne à y entrer selon une légende. Mais il dut se contenter seulement de l'ombre d'une femme qui demeura sur le pas de la porte.
Le diable l'aurait construite en une nuit en l'échange de l'âme de la première personne à y entrer selon une légende. Mais il dut se contenter seulement de l'ombre d'une femme qui demeura sur le pas de la porte.
Une Pietà figure au revers du Christ en Croix. Celui-ci est encadré par la Vierge et saint Jean tandis que deux anges recueillent le sang du condamné.