Locmiquélic
Commune du sud-ouest du Morbihan, Locmiquélic (4 208 habitants) est située sur la rive orientale de la rade de Lorient, en face de la ville du même nom (mais à 15 kilomètres par la route). On y trouve deux ports, deux chantiers navals et une réserve ornithologique (vasière de Pen Mané).
Démembrement de la paroisse primitive de Plouhinec puis de celle de Riantec, Locmiquélic ne devient religieusement indépendante qu’en 1907.
Des moines cordeliers fondent un couvent sur l’îlot de Sainte-Catherine en 1447 (celui-ci, mis à sac en 1539 et 1625, est transférée à Port-Louis en 1656).
Pendant des siècles, l’économie locale est essentiellement tournée vers la mer, les habitants se consacrant en particulier à la construction navale et la pêche (sardine au XIXe s., langoustine au XXe s.). A partir du XVIIe s., les carrières de granit locales servent également à la construction des bâtiments de la ville nouvelle de Lorient.
A la veille de la Révolution, le village dépend de la châtellenie de Nostang.
La commune de Locmiquélic n’est créée qu’en 1919.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouhinec puis de celle de Riantec, Locmiquélic ne devient religieusement indépendante qu’en 1907.
Des moines cordeliers fondent un couvent sur l’îlot de Sainte-Catherine en 1447 (celui-ci, mis à sac en 1539 et 1625, est transférée à Port-Louis en 1656).
Pendant des siècles, l’économie locale est essentiellement tournée vers la mer, les habitants se consacrant en particulier à la construction navale et la pêche (sardine au XIXe s., langoustine au XXe s.). A partir du XVIIe s., les carrières de granit locales servent également à la construction des bâtiments de la ville nouvelle de Lorient.
A la veille de la Révolution, le village dépend de la châtellenie de Nostang.
La commune de Locmiquélic n’est créée qu’en 1919.
Prévu pour une garnison de 800 hommes, ce retranchement est construit vers 1761 selon les plans de l’ingénieur Fourcroy afin de protéger Lorient d’un débarquement anglais menaçant Lorient par l’est. En 1920, la marine nationale y installe une station de radiotélégraphie tandis que l’occupant allemand l’utilise comme batterie anti-aérienne. Le fort est racheté par la commune en 1986.