Locunolé
Petite commune du sud-est du Finistère, Locunolé (984 habitants) est située près de Quimperlé, à 32 kilomètres au nord de Lorient et à 60 km à l’est de Quimper.
La commune abrite le site spectaculaire des « roches du diable », le long du cours de l’Ellé.
Démembrement de la grande paroisse primitive de Niuliac, puis de celle de Querrien (IXe s.), Locunolé fut cédée au haut Moyen Age aux moines de Landévennec. Elle fut mentionnée pour la première fois en 1426.
Prieuré dépendant de Rome, Locunolé fut érigée en 1667 en paroisse relevant de l’ancien diocèse de Cornouaille. Rattachée au département du Morbihan (1790), puis à l’évêché de Vannes lors du Concordat de 1801, elle dépendit de la paroisse de Meslan à partir 1812, puis de celle du Faouët (1820).
Enfin, le Finistère annexa la commune par un décret du 4 avril 1857 et la paroisse retourna dans le giron du diocèse de Quimper. A la même époque, son territoire s’agrandit considérablement au détriment de Querrien.
La commune abrite le site spectaculaire des « roches du diable », le long du cours de l’Ellé.
Démembrement de la grande paroisse primitive de Niuliac, puis de celle de Querrien (IXe s.), Locunolé fut cédée au haut Moyen Age aux moines de Landévennec. Elle fut mentionnée pour la première fois en 1426.
Prieuré dépendant de Rome, Locunolé fut érigée en 1667 en paroisse relevant de l’ancien diocèse de Cornouaille. Rattachée au département du Morbihan (1790), puis à l’évêché de Vannes lors du Concordat de 1801, elle dépendit de la paroisse de Meslan à partir 1812, puis de celle du Faouët (1820).
Enfin, le Finistère annexa la commune par un décret du 4 avril 1857 et la paroisse retourna dans le giron du diocèse de Quimper. A la même époque, son territoire s’agrandit considérablement au détriment de Querrien.
Autrefois appelé chapelle Saint-Mélac, ce bâtiment de style ogival date du XVIe s.