Maël-Pestivien
Petite commune de l'ouest des Côtes-d'Armor, Maël-Pestivien (403 habitants) est située dans le pays Fañch, entre Rostrenen et Guingamp.
La présence de mégalithes atteste d'une occupation du territoire au Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Maël, elle est mentionnée en 1160 dans les possessions des templiers (prieuré du Loc'h).
Le village est touché par les guerres de la Ligue en 1596-1596, par la révolte des Bonnets rouges en 1675 et par le mouvement chouan durant la Révolution.
Sous l'Ancien Régime, la paroisse relève de l'évêché de Quimper. Au civil, elle avait pour subdélégation Callac et ressortissait au siège royal de Carhaix.
En 1832, Maël-Pestivien perd le lieu-dit du Loc'h au profit de Peumerit-Quintin.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la localité se montre réfractaire au STO : le 16 mai 1944, les Allemands y incendient trois maisons et arrêtent une quarantaine de personnes, dont le maire Eugène Le Lostec.
La présence de mégalithes atteste d'une occupation du territoire au Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Maël, elle est mentionnée en 1160 dans les possessions des templiers (prieuré du Loc'h).
Le village est touché par les guerres de la Ligue en 1596-1596, par la révolte des Bonnets rouges en 1675 et par le mouvement chouan durant la Révolution.
Sous l'Ancien Régime, la paroisse relève de l'évêché de Quimper. Au civil, elle avait pour subdélégation Callac et ressortissait au siège royal de Carhaix.
En 1832, Maël-Pestivien perd le lieu-dit du Loc'h au profit de Peumerit-Quintin.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, la localité se montre réfractaire au STO : le 16 mai 1944, les Allemands y incendient trois maisons et arrêtent une quarantaine de personnes, dont le maire Eugène Le Lostec.
La statue présente un poilu s'apprêtant à lancer une grenade.