Melgven
Gros bourg du Sud-Finistère, Melgven (3 243 habitants) est située en Cornouaille, près de Concarneau, à 24 kilomètres au sud-est de Quimper.
La commune abrite plusieurs éléments mégalithiques, qui attestent d’une présence humaine importante au Néolithique. Durant la période gallo-romaine, la voie Vannes-Quimper traversait le territoire de Melgven.
Paroisse primitive, le territoire de Melgven englobait également à l’origine Concarneau, Névez, Pont-Aven et Trégunc. Plusieurs mottes féodales sont présentes sur son territoire au XIe s. La paroisse possédait autrefois une trêve dans l’actuel village de Cadol.
A partir du XVIIIe s., la commune produit du papier à écrire et à imprimer, exporté jusqu’au Portugal et aux Pays-Bas.
Jusqu’au Concordat de 1801, elle relève de l’ancien diocèse de Cornouaille. Au XXe s., la proximité avec Concarneau puis avec Rosporden entraîne une augmentation de la population.
La commune abrite plusieurs éléments mégalithiques, qui attestent d’une présence humaine importante au Néolithique. Durant la période gallo-romaine, la voie Vannes-Quimper traversait le territoire de Melgven.
Paroisse primitive, le territoire de Melgven englobait également à l’origine Concarneau, Névez, Pont-Aven et Trégunc. Plusieurs mottes féodales sont présentes sur son territoire au XIe s. La paroisse possédait autrefois une trêve dans l’actuel village de Cadol.
A partir du XVIIIe s., la commune produit du papier à écrire et à imprimer, exporté jusqu’au Portugal et aux Pays-Bas.
Jusqu’au Concordat de 1801, elle relève de l’ancien diocèse de Cornouaille. Au XXe s., la proximité avec Concarneau puis avec Rosporden entraîne une augmentation de la population.
Fondée vers 1535 par la famille Kergoat, la chapelle est construite par l’atelier de Saint-Herbot. L’édifice est restauré entre 1756 et 1758 et à nouveau en 1856.
Située au village de Créac’higuel, la chapelle actuelle a remplacé en 1769 un édifice plus ancien, construit au XVIe ou XVIIe s. En état de ruine au début du XIXe s., elle est restaurée et agrandie entre 1825 et 1829.
Haut de 6 mètres, il date du XIXe s.
Construit au XVIIIe s., l’ensemble est partiellement restauré au XXe s. La croix qui surmontait la niche a disparu.
Elle porte la date de 1865.