Merlevenez
Petite commune du sud-ouest du Morbihan, Merlevenez (2 896 habitants) est située à 14 kilomètres à l’est de Lorient. Elle borde la ria d’Etel sur trois kilomètres.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouhinec, Merlevenez avait pour premier centre le village de Trévalzur [aujourd’hui Trévelzun]. Ce n’est qu’en 1312 que le bourg actuel devint le cœur de la paroisse. A la fin du XIIe s., les templiers y avaient établi un monastère.
Relevant de l’ancien diocèse de Vannes, Merlevenez faisait autrefois partie du doyenné de Pou-Belz et de la sénéchaussée d’Hennebont.
Le bourg fut très touché par les combats de la Libération en 1944-1945.
Démembrement de la paroisse primitive de Plouhinec, Merlevenez avait pour premier centre le village de Trévalzur [aujourd’hui Trévelzun]. Ce n’est qu’en 1312 que le bourg actuel devint le cœur de la paroisse. A la fin du XIIe s., les templiers y avaient établi un monastère.
Relevant de l’ancien diocèse de Vannes, Merlevenez faisait autrefois partie du doyenné de Pou-Belz et de la sénéchaussée d’Hennebont.
Le bourg fut très touché par les combats de la Libération en 1944-1945.
Cet édifice roman a été construit entre la fin du XIe s. et la fin du XIIe selon un plan se rapprochant de celui des églises cisterciennes (chevet plat, absidioles rectangulaires, clocher central, etc.), peut-être à l’emplacement d’une chapelle plus ancienne. Le nom « Notre-Dame-de-la-Joie » suggérerait que l’église a été bâtie par les templiers. Au XIVe s. est ajouté le clocher central sur une base romane (restauré en 1533) et des modifications sont réalisées au XVe s. (chevet).
Elle fait partie des rares églises bretonnes à avoir conservé ses portails médiévaux (XIIe s.) aux archivoltes à chevrons et dents de scie. Sur la façade sud, les chapiteaux des colonnes représentent de part et d’autre le martyre de saint Simon et celui de saint Laurent.
La sacristie date du XIXe s.
Le clocher et la toiture, gravement endommagés par des obus en 1944-1945, sont restaurés à l’identique dans les années 1960.
Elle fait partie des rares églises bretonnes à avoir conservé ses portails médiévaux (XIIe s.) aux archivoltes à chevrons et dents de scie. Sur la façade sud, les chapiteaux des colonnes représentent de part et d’autre le martyre de saint Simon et celui de saint Laurent.
La sacristie date du XIXe s.
Le clocher et la toiture, gravement endommagés par des obus en 1944-1945, sont restaurés à l’identique dans les années 1960.
Construite au XVIIe s., ce petit bâtiment a remplacé un édifice datant du XVe ou du début du XVIe s. Autrefois destiné aux lépreux, elle devient une chapelle de congrégation au XIXe s. Elle est restaurée en 1879 et endommagée lors des combats de Libération en 1944.