Pabu
Petite commune de l'ouest des Côtes-d'Armor, Pabu (2 812 habitants) est située à trois kilomètres au nord de Guingamp.
Mentionné pour la première fois au XIIIe s. sous le nom de Trivis, le village est l'une des quatre dîmeries de la grande paroisse primitive de Ploumagoar. Une importante activité artisanale de la poterie naît au XVe s. au village de Kérez. Du XVIe au début du XXe s., la culture du lin et le teillage sont également fortement implantés sur le territoire.
La seigneurie locale de Munehorre, vassale du fief de Pontrieux (La Roche-Jagu), avait droit de haute justice.
Trève de Ploumagoar, la paroisse de Pabu n'est établie qu'en 1803.
Agrandie de l'enclave de Kergoz en 1822, la commune voit se développer considérablement au XXe s. la partie de son territoire limitrophe de Guingamp. Le nouvel hôpital de la ville y est notamment fondé en 1909.
Mentionné pour la première fois au XIIIe s. sous le nom de Trivis, le village est l'une des quatre dîmeries de la grande paroisse primitive de Ploumagoar. Une importante activité artisanale de la poterie naît au XVe s. au village de Kérez. Du XVIe au début du XXe s., la culture du lin et le teillage sont également fortement implantés sur le territoire.
La seigneurie locale de Munehorre, vassale du fief de Pontrieux (La Roche-Jagu), avait droit de haute justice.
Trève de Ploumagoar, la paroisse de Pabu n'est établie qu'en 1803.
Agrandie de l'enclave de Kergoz en 1822, la commune voit se développer considérablement au XXe s. la partie de son territoire limitrophe de Guingamp. Le nouvel hôpital de la ville y est notamment fondé en 1909.
Remplaçant l’ancienne chapelle de la dîmerie de Trivis, elle est construite au XVIIe s., agrandie au XVIIIe et restaurée en 1826. En 1747, elle devient une église tréviale, succursale de Ploumagoar.
Dès la fin du XVIe s., les fontaines de Guingamp sont alimentées de cette manière avec l’eau des sources de Montbareil. L’ensemble actuel est reconstruit en 1743 et reste en service jusqu’au début du XXe s. Le franchissement du vallon des Lutius entraîne l’édification de quatre arcades larges de 5,20 m.