Penvénan
Petite commune du nord-ouest des Côtes-d’Armor, Penvénan (2 560 habitants) est située dans le Trégor, sur la Manche, près de Tréguier, à seize kilomètres au nord-est de Lannion.
Largement baignée par la mer, la commune comprend un bourg situé dans les terres et deux villages côtiers, Buguélès et Port-Blanc. Ce dernier lieu est une station balnéaire et un port de plaisance très recherchés l’été.
La présence de mégalithes atteste d’une occupation du territoire dès le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Plougrescant, Penvénan vit durant des siècles de l’agriculture et de la pêche. Au Moyen Age, certains ordres militaires religieux, comme les templiers, et des abbayes (Saint-Jacut) y sont possessionnés. Les nombreuses guerres contre l’Anglais qui émaillent les siècles font des villages de la côte une cible de choix pour corsaires et pirates.
Sous l’Ancien Régime, la paroisse relève religieusement du diocèse de Tréguier et civilement de la subdélégation et du ressort de Lannion. De 1790 à 1801, la commune est chef-lieu de canton.
Dès la fin du XIXe s., Port-Blanc devient un lieu en vogue fréquenté à la belle saison par diverses personnalités. Le tourisme continue de nos jours à faire vivre la commune.
Largement baignée par la mer, la commune comprend un bourg situé dans les terres et deux villages côtiers, Buguélès et Port-Blanc. Ce dernier lieu est une station balnéaire et un port de plaisance très recherchés l’été.
La présence de mégalithes atteste d’une occupation du territoire dès le Néolithique.
Démembrement de la paroisse primitive de Plougrescant, Penvénan vit durant des siècles de l’agriculture et de la pêche. Au Moyen Age, certains ordres militaires religieux, comme les templiers, et des abbayes (Saint-Jacut) y sont possessionnés. Les nombreuses guerres contre l’Anglais qui émaillent les siècles font des villages de la côte une cible de choix pour corsaires et pirates.
Sous l’Ancien Régime, la paroisse relève religieusement du diocèse de Tréguier et civilement de la subdélégation et du ressort de Lannion. De 1790 à 1801, la commune est chef-lieu de canton.
Dès la fin du XIXe s., Port-Blanc devient un lieu en vogue fréquenté à la belle saison par diverses personnalités. Le tourisme continue de nos jours à faire vivre la commune.
Située au Buguélès, elle est construite au XVIe s. Autrefois, un cimetière entourait la chapelle.
Construite dans l’ancienne frairie de Trégonval au XVIIe ou XVIIIe s., cette petite chapelle rectangulaire est cédée à la fabrique en 1825. Elle est restaurée vers 1840 et remaniée en 1914. Le clocher-mur à lanternon est percé d’un oculus au-dessus de la porte.
Erigé en 1516 dans l’enclos de la chapelle, ce calvaire possède une croix qui n’est pas d’origine. Le nom des donateurs (Lourantz Le Hégarat et Marte Trouallic) est inscrit sur le socle.
Probablement élevé au XIXe s., il est situé dans un espace clos par un petit muret.
Construit sur une digue, il date de la fin du XVe ou du XVIe s.
Situé à Port-Blanc, le rocher de la Sentinelle était autrefois surmonté d’une guérite qui permettait de surveillait la côte. Démolie, celle-ci a été remplacée au début du XXe s., à l’initiative du chansonnier Théodore Botrel, par un monument abritant les statues de Notre-Dame-de-la-Mer et de saint Tugdual.
Elément du mur de l’Atlantique construit par les Allemands pour surveiller et défendre la plage du Rohanic, ce bunker a été mûré après-guerre.