Peumerit-Quintin
Toute petite commune de l’ouest des Côtes-d’Armor, Peumerit-Quintin (171 habitants) est située dans le pays Fañch, sur la rive droite du Blavet, entre Rostrenen et Guingamp.
Occupé par les Gallo-Romains, comme l’atteste son nom, Peumerit-Quintin est issu du démembrement de la paroisse primitive de Maël.
Au Moyen Age, une motte féodale est établie dans le bourg.
Jusqu’à la Révolution française, la paroisse relève religieusement de l’évêché de Quimper et dépend au civil de la subdélégation de Quintin et du resort de Carhaix.
La succursale de Peumerit-Quintin fut supprimée de 1807 à 1826 pour être rattachée à la paroisse de Lanrivain.
Le village du Loc’h, qui abrita une commanderie templière à partir du XIIe s., est cédée par Maël-Pestivien à Peumerit-Quintin en 1832.
Occupé par les Gallo-Romains, comme l’atteste son nom, Peumerit-Quintin est issu du démembrement de la paroisse primitive de Maël.
Au Moyen Age, une motte féodale est établie dans le bourg.
Jusqu’à la Révolution française, la paroisse relève religieusement de l’évêché de Quimper et dépend au civil de la subdélégation de Quintin et du resort de Carhaix.
La succursale de Peumerit-Quintin fut supprimée de 1807 à 1826 pour être rattachée à la paroisse de Lanrivain.
Le village du Loc’h, qui abrita une commanderie templière à partir du XIIe s., est cédée par Maël-Pestivien à Peumerit-Quintin en 1832.
Au milieu du XIIe s., les hospitaliers de l’ordre Saint-Jean-de-Jérusalem établissent une commanderie au Loc’h, près d’un étang. A partir du début du XIIIe s., les membres du prieuré élèvent des chevaux destinés aux croisés. Reconstruite entre 1496 et 1504, la chapelle actuelle est restaurée au XVIIIe s.
Rattaché à la commanderie de La Feuillée et devenu à l’époque moderne une trève de la paroisse de Maël-Pestivien, l’Hospital-du-Loch est annexé par la commune de Peumerit-Quintin en 1827.
Rattaché à la commanderie de La Feuillée et devenu à l’époque moderne une trève de la paroisse de Maël-Pestivien, l’Hospital-du-Loch est annexé par la commune de Peumerit-Quintin en 1827.
Ancien calvaire du cimetière du village du Loc’h, il est érigé au XVIe s. Le Crucifix est encadré par saint Jean et la Vierge. Au revers figure un personnage mutilé.
Elle est située non loin de la chapelle Saint-Jean.