Pléneuf-Val-André
Commune du nord-est des Côtes-d’Armor, Pléneuf-Val-André (3 965 habitants) est située sur la Manche, dans le Penthièvre, à vingt-cinq kilomètres à l’est de Saint-Brieuc et à treize km de Lamballe.
Comportant côte rocheuse, falaises, belles plages et deux ports de plaisance (Dahouët et Piégu), la commune attire de nombreux touristes en été (sa population est alors multipliée par cinq environ). Très recherchée, la station balnéaire du Val-André dispose notamment de restaurants, bars, terrains de sports (tennis), un théâtre, un cinéma et un casino.
Des découvertes archéologiques attestent d’une occupation du territoire dès le Paléothique moyen (depuis au moins 200 000 ans).
Paroisse primitive crée au VIIIe s. par les émigrés bretons, Pléneuf englobe également dès l’origine les territoires d’Erquy et de Saint-Alban. La seigneurie relève au Moyen Age du comté de Penthièvre et la paroisse du diocèse de Saint-Brieuc. L’abbaye Saint-Martin de Lamballe y est possessionnée à partir du XIIe s. et les moines de Marmoutier disposent d’un prieuré à la pointe de Pléneuf.
Dès le début du XVIe s., les habitants participent à la « Grande Pêche » à Terre-Neuve, puis en Islande. A la fin de ce même siècle, les guerres de religion de la Ligue entraînent la destruction du château de Guémadeuc.
Sous l’Ancien Régime, la paroisse compte trois seigneuries : Vauclerc-La-Vigne, La Ville-Brexelet, mais surtout Guémadeuc, qui passe aux Richelieu au XVIIe s., puis aux Berthelot (1679), aux Baudouin de Guémadeuc et aux Baude de La Vieuxville.
La pêche dans l’Atlantique Nord décline au début du XXe s., mais fort heureusement le tourisme prend le relais dans la deuxième moitié du XIXe s. (des régates sont organisées à Pléneuf dès 1869). Créée en 1880-1882 sur une côte quasiment inhabitée, la station du Val-André se développe rapidement (premier casino, 1883 ; Grand Hotel, 1894-1895 ; second casino, dit La Rotonde, 1934).
En 1965, la commune de Pléneuf devient Pléneuf-Val-André.
Comportant côte rocheuse, falaises, belles plages et deux ports de plaisance (Dahouët et Piégu), la commune attire de nombreux touristes en été (sa population est alors multipliée par cinq environ). Très recherchée, la station balnéaire du Val-André dispose notamment de restaurants, bars, terrains de sports (tennis), un théâtre, un cinéma et un casino.
Des découvertes archéologiques attestent d’une occupation du territoire dès le Paléothique moyen (depuis au moins 200 000 ans).
Paroisse primitive crée au VIIIe s. par les émigrés bretons, Pléneuf englobe également dès l’origine les territoires d’Erquy et de Saint-Alban. La seigneurie relève au Moyen Age du comté de Penthièvre et la paroisse du diocèse de Saint-Brieuc. L’abbaye Saint-Martin de Lamballe y est possessionnée à partir du XIIe s. et les moines de Marmoutier disposent d’un prieuré à la pointe de Pléneuf.
Dès le début du XVIe s., les habitants participent à la « Grande Pêche » à Terre-Neuve, puis en Islande. A la fin de ce même siècle, les guerres de religion de la Ligue entraînent la destruction du château de Guémadeuc.
Sous l’Ancien Régime, la paroisse compte trois seigneuries : Vauclerc-La-Vigne, La Ville-Brexelet, mais surtout Guémadeuc, qui passe aux Richelieu au XVIIe s., puis aux Berthelot (1679), aux Baudouin de Guémadeuc et aux Baude de La Vieuxville.
La pêche dans l’Atlantique Nord décline au début du XXe s., mais fort heureusement le tourisme prend le relais dans la deuxième moitié du XIXe s. (des régates sont organisées à Pléneuf dès 1869). Créée en 1880-1882 sur une côte quasiment inhabitée, la station du Val-André se développe rapidement (premier casino, 1883 ; Grand Hotel, 1894-1895 ; second casino, dit La Rotonde, 1934).
En 1965, la commune de Pléneuf devient Pléneuf-Val-André.
Il est édifié en 1894 pour rappeler le souvenir des marins disparus et notamment les nombreuses victimes de la pêche à la morue dans l'Atlantique Nord. Détruite par les éléments, la première statue de Notre-Dame, en métal, est remplacée en 1966 par une oeuvre en granit due à Auguste Bourdais.