Plévenon
Petite commune du nord des Côtes-d’Armor, Plévenon (721 habitants) se trouve entre Saint-Brieuc et Saint-Malo.
Ancienne paroisse primitive, dépendant du diocèse de Saint-Brieuc sous l’Ancien Régime, elle fut associée de 1972 à 2004 à Pléhérel pour former la commune de Fréhel.
Le site national de cap Fréhel est aujourd’hui situé sur son territoire.
Ancienne paroisse primitive, dépendant du diocèse de Saint-Brieuc sous l’Ancien Régime, elle fut associée de 1972 à 2004 à Pléhérel pour former la commune de Fréhel.
Le site national de cap Fréhel est aujourd’hui situé sur son territoire.
Il est probable que cette pierre levée soit un menhir retaillé plus finement bien longtemps après son érection.
Edifié entre 1340 et 1370 par la famille Goyon-Matignon sur un éperon rocheux dominant la mer, sous le nom de La Roche-Guyon, ce célèbre château est pris le 23 août 1379 par Du Guesclin pour le compte du roi de France. A nouveau assiégé par les Anglais (1490), il est occupé par les calvinistes durant les guerres de Religion de la fin du XVIe s. et enlevé en 1597 par un capitaine ligueur.
Renforcé en 1690-1694 par Simon Garengeau, un ingénieur de Vauban,, démobilisé au XIXe s. (déclassé en 1890), restauré entre 1932 et 1938, le Fort La Latte a servi de décors pour de nombreux films, comme Chouans ! (1987), Ridicule (1996) et, surtout, Les Vikings (1957), où Kirk Douglas et Tony Curtis s’affrontent dans la bataille finale.
Si la majeure partie des fortifications visibles aujourd’hui date de l’époque Louis XIV, il reste du château médiéval de la Roche-Goyon le donjon du XIVe s.
Renforcé en 1690-1694 par Simon Garengeau, un ingénieur de Vauban,, démobilisé au XIXe s. (déclassé en 1890), restauré entre 1932 et 1938, le Fort La Latte a servi de décors pour de nombreux films, comme Chouans ! (1987), Ridicule (1996) et, surtout, Les Vikings (1957), où Kirk Douglas et Tony Curtis s’affrontent dans la bataille finale.
Si la majeure partie des fortifications visibles aujourd’hui date de l’époque Louis XIV, il reste du château médiéval de la Roche-Goyon le donjon du XIVe s.
Il a été élévé au XVe ou XVIe s.
Construite au XIXe s. au bourg, elle a été restaurée à la fin du XXe s.
Il est édifié au XVIIe s. par les Trémereuc, qui possédait un droit de moyenne justice à la veille de la Révolution.
Construit au XVIIe s., il est remanié au XXe s.
Construite par les Rebillard entre les XVIIe et XVIIIe s., cette demeure fut agrandie par la comtesse de Goyon vers 1870.
La propriété comprend un logis du XVIIIe s. (restauré à la fin du XXe et au début du XXIe s.), plusieurs bâtiments agricoles et un colombier coiffé d’un lanternon.
Le magnifique site national du cap Fréhel abrite deux phares, sécurisant le passage entre la baie de Saint-Brieuc et la rade de Saint-Malo, à 70 mètres au-dessus des flots.
Le phare le plus ancien (1re et 2e photo), appelé phare Vauban, date de 1701-1702. Il fut construit par un adjoint du commissaire général des fortifications, l’ingénieur Garengeau, qui s’est inspiré des plans du phare du Stiff, à Ouessant. Haut de quinze mètres, il fut d’abord allumé uniquement en hiver, puis toute l’année (1717).
Le phare actuel (3e et 4e photo) est en fait le troisième. Il a remplacé un second édifice construit en 1845-1847 et détruit par les Allemands le 11 août 1944. Edifié de 1946 à 1950, il est haut de 32,85 mètres.
Le phare le plus ancien (1re et 2e photo), appelé phare Vauban, date de 1701-1702. Il fut construit par un adjoint du commissaire général des fortifications, l’ingénieur Garengeau, qui s’est inspiré des plans du phare du Stiff, à Ouessant. Haut de quinze mètres, il fut d’abord allumé uniquement en hiver, puis toute l’année (1717).
Le phare actuel (3e et 4e photo) est en fait le troisième. Il a remplacé un second édifice construit en 1845-1847 et détruit par les Allemands le 11 août 1944. Edifié de 1946 à 1950, il est haut de 32,85 mètres.