Plévin
Située en centre Bretagne, la petite commune de Plévin (782 habitants) se trouve à neuf kilomètres au sud-est de Carhaix.
Paroisse primitive constituée au VIe ou VIIe s., qui englobait à l’origine également les territoires de Motreff, Tréogan et Paule, Plévin relève sous l’Ancien Régime de la subdélégation et du ressort de Carhaix, et dépend jusqu’en 1801 de l’ancien diocèse de Cornouaille. Comme nombre des paroisses voisines, celle de Plévin fut touchée par la révolte des Bonnets rouges de 1675.
De la fin du XIXe s. au milieu du XXe s., des carrières d’ardoises sont exploitées sur le territoire de la commune.
Des combats entre résistants et soldats allemands s’y déroulent à l’été 1944.
Le 28 septembre 1999, la société Titanite de Plévin fut cambriolée, et l’équipement dérobé servit pour des attentats liés à la mouvance indépendantiste bretonne. L’acte terroriste qui tua une employée du MacDonald’s de Quévert fut notamment réalisé avec ces explosifs (19 avril 2000).
Paroisse primitive constituée au VIe ou VIIe s., qui englobait à l’origine également les territoires de Motreff, Tréogan et Paule, Plévin relève sous l’Ancien Régime de la subdélégation et du ressort de Carhaix, et dépend jusqu’en 1801 de l’ancien diocèse de Cornouaille. Comme nombre des paroisses voisines, celle de Plévin fut touchée par la révolte des Bonnets rouges de 1675.
De la fin du XIXe s. au milieu du XXe s., des carrières d’ardoises sont exploitées sur le territoire de la commune.
Des combats entre résistants et soldats allemands s’y déroulent à l’été 1944.
Le 28 septembre 1999, la société Titanite de Plévin fut cambriolée, et l’équipement dérobé servit pour des attentats liés à la mouvance indépendantiste bretonne. L’acte terroriste qui tua une employée du MacDonald’s de Quévert fut notamment réalisé avec ces explosifs (19 avril 2000).
Construite dans la seconde moitié du XVIIe s., elle a conservé sa tour d’origine (1663), ainsi que le chœur et les chapelles latérales (1687-1689). De 1885 à 1887, la nef et la façade occidentale sont reconstruites selon les plans de l’architecte Le Guerrannic.
Aussi appelée chapelle Saint-Diboan, elle fut construite entre le XVIe et le XVIIe s.
Autrefois situé dans le cimetière, il date du XVIe s.
Voisine de la chapelle du même nom, elle comporte deux bassins. Seules deux des trois niches sont occupées par des statues. Elle date du XVIe s.