Pleslin-Trigavou
Commune du nord-est des Côtes-d’Armor, limitrophe du département de l’Ille-et-Vilaine, Pleslin-Trigavou (3 370 habitants) est située entre Dinan au sud (à 10 km) et Dinard au nord (à 11 km), et à 18 km de Saint-Malo.
La présence d’un important site mégalithique témoigne de la présence humaine à Pleslin-Trigavou dès le Néolithique. Celle-ci se poursuit à l’époque celtique et gallo-romaine (passage de la voie romaine Alet-Corseul).
Paroisse primitive ou démembrement des paroisses primitives de Ploubalay (pour Trigavou) et de de Plouër (pour Pleslin), le territoire relève jusqu’au Concordat de 1801 de l’ancien diocèse de Saint-Malo. Au civil, les deux paroisses dépendent sous l’Ancien Régime de la subdélégation et du ressort de Dinan.
Au XIIe s., l’église de Trigavou est donnée aux moines du prieuré de Léhon.
A partir du XVIe s., de nombreux habitants embarquent sur les terre-neuvas malouins pour participer à la « Grande Pêche » à la morue dans les eaux de l’Atlantique Nord.
Communes séparées à partir de 1793, Pleslin et Trigavou sont réunies le 1er janvier 1973.
La présence d’un important site mégalithique témoigne de la présence humaine à Pleslin-Trigavou dès le Néolithique. Celle-ci se poursuit à l’époque celtique et gallo-romaine (passage de la voie romaine Alet-Corseul).
Paroisse primitive ou démembrement des paroisses primitives de Ploubalay (pour Trigavou) et de de Plouër (pour Pleslin), le territoire relève jusqu’au Concordat de 1801 de l’ancien diocèse de Saint-Malo. Au civil, les deux paroisses dépendent sous l’Ancien Régime de la subdélégation et du ressort de Dinan.
Au XIIe s., l’église de Trigavou est donnée aux moines du prieuré de Léhon.
A partir du XVIe s., de nombreux habitants embarquent sur les terre-neuvas malouins pour participer à la « Grande Pêche » à la morue dans les eaux de l’Atlantique Nord.
Communes séparées à partir de 1793, Pleslin et Trigavou sont réunies le 1er janvier 1973.
Egalement appelé « Champ des Roches », cet alignement, le troisième plus important de Bretagne, se compose de soixante-cinq pierres dressées disposées en cinq files parallèles (d’une longueur maximale de 97 mètres). Cinquante-cinq de ces menhirs sont renversés, et le plus grand mesure 3,5 m. Selon la légende, les pierres furent abandonnées ici par des fées qui allaient bâtir le Mont-Saint-Michel.