Ploemeur
Ville du sud-ouest du Morbihan, Ploemeur (18 509 habitants) est située à 5 kilomètres à l’ouest du centre de Lorient.
Baignée par l’Atlantique, cette station balnéaire réputée comprend plusieurs plages et un sanatorium héliomarin, Kerpape, ouvert en 1920.
La présence de plusieurs mégalithes témoigne d’une occupation humaine de la région au Néolithique.
Paroisse primitive, le vaste territoire de Ploemeur comprenait également autrefois Lorient et Larmor-Plage. Au VIe s., sainte Ninnoc y aurait fondé un monastère, détruit par les Normands au IX ou Xe s. (il devint un prieuré bénédictin de Sainte-Croix de Quimperlé au XIe s.).
Relevant du diocèse de Vannes, Ploemeur dépendait au Moyen Age de la juridiction du Kemenet-Héboé.
Ville nouvelle fondée au XVIIe s. pour la Compagnie des Indes orientales, Lorient se détacha de Ploemeur en 1709. Larmor-Plage ne devint indépendante qu’en 1924.
Au XIXe s., l’économie de Ploemeur se tourna vers la mer, avec notamment la création de presses à sardines.
Baignée par l’Atlantique, cette station balnéaire réputée comprend plusieurs plages et un sanatorium héliomarin, Kerpape, ouvert en 1920.
La présence de plusieurs mégalithes témoigne d’une occupation humaine de la région au Néolithique.
Paroisse primitive, le vaste territoire de Ploemeur comprenait également autrefois Lorient et Larmor-Plage. Au VIe s., sainte Ninnoc y aurait fondé un monastère, détruit par les Normands au IX ou Xe s. (il devint un prieuré bénédictin de Sainte-Croix de Quimperlé au XIe s.).
Relevant du diocèse de Vannes, Ploemeur dépendait au Moyen Age de la juridiction du Kemenet-Héboé.
Ville nouvelle fondée au XVIIe s. pour la Compagnie des Indes orientales, Lorient se détacha de Ploemeur en 1709. Larmor-Plage ne devint indépendante qu’en 1924.
Au XIXe s., l’économie de Ploemeur se tourna vers la mer, avec notamment la création de presses à sardines.
Aujourd'hui en mauvais état, cette réalisation de la fin du Néolithique (vers 2000 avant J.-C.) est longue de douze mètres. Le site a été restauré de 2004 à 2006.
Appelé aussi fort de Keragan (du nom du rocher où il fut bâti), cet ensemble circulaire fut construit de 1748 à 1749, deux ans après un débarquement anglais sur la côte de Guidel en vue d’une attaque sur Lorient. Armé de quatre canons, il ne servit jamais, mais fut occupé par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale. Vendu par l’armée en 1967, le fort fut restauré dans les années 1970.