Plogonnec
Gros bourg du sud du Finistère, Plogonnec (3 036 habitants) est située à 13 kilomètres au nord-ouest de Quimper.
Des vestiges du Néolithique (haches polies) ont été découverts sur la commune.
Paroisse primitive fondée au haut Moyen Age et donnée à saint Corentin par le roi Gradlon, Plogonnec recouvrait également à l’origine une partie du territoire de l’actuelle commune de Guengat. Des mottes féodales y sont bâties à partir du Xe s. Originaire de la paroisse, la famille noble de Névet s’installe à Kerlaz au XVe s.
Ravagée par les guerres de la Ligue à la fin du XVIe s., Plogonnec fut également touchée par la révolte des Bonnets rouges en 1675.
En déclin depuis la Première Guerre mondiale, la population de la commune a connu un regain depuis les années 1960 en raison de sa proximité avec Quimper.
Des vestiges du Néolithique (haches polies) ont été découverts sur la commune.
Paroisse primitive fondée au haut Moyen Age et donnée à saint Corentin par le roi Gradlon, Plogonnec recouvrait également à l’origine une partie du territoire de l’actuelle commune de Guengat. Des mottes féodales y sont bâties à partir du Xe s. Originaire de la paroisse, la famille noble de Névet s’installe à Kerlaz au XVe s.
Ravagée par les guerres de la Ligue à la fin du XVIe s., Plogonnec fut également touchée par la révolte des Bonnets rouges en 1675.
En déclin depuis la Première Guerre mondiale, la population de la commune a connu un regain depuis les années 1960 en raison de sa proximité avec Quimper.
La chapelle actuelle est construite de 1588 à 1594 à l’orée du bois des Névet par le seigneur Claude de Névet à l’emplacement d’un édifice plus ancien. Elle est remaniée au XVIIe s. (pignon occidental) et au XVIIIe s. (clocher). L’édifice présente des éléments Renaissance (ouest) et gothique (sud). Endommagé par la foudre en 1992, le clocher est restauré en 1995.
Le pardon s’y déroule le premier dimanche d’août.
Le pardon s’y déroule le premier dimanche d’août.
Dressé dans l’ouest du bourg, ce calvaire haut de 5 mètres porte la date de 1305. Sur la croix à trilobes, une Vierge à l’Enfant figure au revers du Crucifix.