Plomelin
Gros bourg du Sud-Finistère, Plomelin (4 080 habitants) est située sur la rive droite de l’Odet, entre Quimper (à 9 km) et Pont-l’Abbé.
La présence de mégalithes et d’un tumulus atteste de l’occupation humaine du territoire dès le Néolithique. L’implantation gauloise et romaine (fours à sel, etc.) est prouvée également en plusieurs points des rives de l’Odet (Pérennou, Rossulien…).
Plomelin est une paroisse primitive relevant du diocèse de Cornouaille et du pagus du Cap Caval ; l’actuelle commune comprenait également une deuxième paroisse, Bodivit, supprimée lors du Concordat de 1801.
Aux XVIIe et XVIIIe s., les bourgeois de Quimper fuient la ville pour s’installer à Plomelin, bâtissant manoirs et châteaux non loin de l’Odet. De 1794 à 1800, Plomelin fut le chef-lieu d’un canton regroupant les communes de Plomelin, Bodivit, Pluguffan et Tréméoc.
La première partie du XXe s. est synonyme d’exode rural pour la commune, mais à partir des années 1960 Plomelin profite de sa proximité avec Quimper, drainant une nouvelle population.
La présence de mégalithes et d’un tumulus atteste de l’occupation humaine du territoire dès le Néolithique. L’implantation gauloise et romaine (fours à sel, etc.) est prouvée également en plusieurs points des rives de l’Odet (Pérennou, Rossulien…).
Plomelin est une paroisse primitive relevant du diocèse de Cornouaille et du pagus du Cap Caval ; l’actuelle commune comprenait également une deuxième paroisse, Bodivit, supprimée lors du Concordat de 1801.
Aux XVIIe et XVIIIe s., les bourgeois de Quimper fuient la ville pour s’installer à Plomelin, bâtissant manoirs et châteaux non loin de l’Odet. De 1794 à 1800, Plomelin fut le chef-lieu d’un canton regroupant les communes de Plomelin, Bodivit, Pluguffan et Tréméoc.
La première partie du XXe s. est synonyme d’exode rural pour la commune, mais à partir des années 1960 Plomelin profite de sa proximité avec Quimper, drainant une nouvelle population.
Cette ancienne dépendance de Bodivit a été construite au XVIe s.
Probablement élevée à l’époque médiévale, cette croix, haute de 6 mètres, est restaurée lors d’une mission en 1866. La croix à branches trilobées porte le Crucifix.
Haut de 5 mètres, ce calvaire érigé au XVIe s. présente une Pietà au revers du Crucifix.
Probablement réalisée au XIXe s., son eau s’écoule dans l’anse de Combrit, puis dans l’Odet.
Construit en 1692, il comprend 1 000 alvéoles. Au-dessus de la porte, l’écusson est frappé aux armes des Sévigné.