Ploubalay
Petite commune de l’extrémité nord-est des Côtes-d’Armor, Ploubalay (2 557 habitants) est située sur la Manche, à la frontière avec l’Ille-et-Vilaine, à quinze kilomètres à l’ouest de Saint-Malo et à dix-sept km au nord de Dinan.
Bien que baignée par la mer, la commune ne possède aucune plage mais abrite des zones marécageuses (les « polders »). Autrefois occupée par la mer, celles-ci faisaient de Ploubalay et de Lancieux une presqu’île.
La présence d’un tumulus atteste d’une occupation humaine dès le Néolithique.
Paroisse primitive, Ploubalay englobait également à sa fondation les territoires des actuelles communes de Lancieux, Trégon, Créhen, Saint-Jacut-de-la-Mer et Le Plessix-Balisson. Au Moyen Ages, les moines de Saint-Jacut y étaient possessionnés (prieuré-cure de Saint-Cadreuc).
Jusqu’à la Révolution, la paroisse releva de l’ancien diocèse de Saint-Malo ; elle dépendait sous l’Ancien Régime de la subdélégation et du ressort du Dinan.
En 1795 et 1796, des combats opposant chouans et républicains se déroulèrent à Ploubalay.
Bien que baignée par la mer, la commune ne possède aucune plage mais abrite des zones marécageuses (les « polders »). Autrefois occupée par la mer, celles-ci faisaient de Ploubalay et de Lancieux une presqu’île.
La présence d’un tumulus atteste d’une occupation humaine dès le Néolithique.
Paroisse primitive, Ploubalay englobait également à sa fondation les territoires des actuelles communes de Lancieux, Trégon, Créhen, Saint-Jacut-de-la-Mer et Le Plessix-Balisson. Au Moyen Ages, les moines de Saint-Jacut y étaient possessionnés (prieuré-cure de Saint-Cadreuc).
Jusqu’à la Révolution, la paroisse releva de l’ancien diocèse de Saint-Malo ; elle dépendait sous l’Ancien Régime de la subdélégation et du ressort du Dinan.
En 1795 et 1796, des combats opposant chouans et républicains se déroulèrent à Ploubalay.
Cet édifice a été construit au XIXe s. à proximité d’un ancien prieuré des moines de Saint-Jacut.