Ploufragan
Ville du centre des Côtes-d’Armor, Ploufragan est située dans la banlieue sud-ouest de Saint-Brieuc.
La présence de nombreux mégalithes atteste d’une forte occupation du territoire au Néolithique.
Au VIe s., saint Fracan quitte l’île de Bretagne [Angleterre] et débarque en Armorique, où il fonde la paroisse primitive de Ploufragan, qui englobe à l’origine également les territoires de Saint-Brieuc, Trégueux, Langueux et Cesson.
Cinq siècles plus tard, l’évêque de Saint-Brieuc y installe sa résidence d’été sur une terre cédée par le comte de Penthièvre.
Sous la Révolution, la commune est sous la menace des chouans.
Etabli en 1939, l’aérodrome de la Plaineville est utilisé par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale. En 1944, 19 résistants furent exécutés dans la forêt de Lorge.
La commune bénéficie dans la deuxième moitié du XXe s. de la proximité avec Saint-Brieuc pour voir sa population considérablement augmentée.
Le Zoopôle, un pôle de recherche dans le domaine de la santé animale, est installé à Ploufragan.
La présence de nombreux mégalithes atteste d’une forte occupation du territoire au Néolithique.
Au VIe s., saint Fracan quitte l’île de Bretagne [Angleterre] et débarque en Armorique, où il fonde la paroisse primitive de Ploufragan, qui englobe à l’origine également les territoires de Saint-Brieuc, Trégueux, Langueux et Cesson.
Cinq siècles plus tard, l’évêque de Saint-Brieuc y installe sa résidence d’été sur une terre cédée par le comte de Penthièvre.
Sous la Révolution, la commune est sous la menace des chouans.
Etabli en 1939, l’aérodrome de la Plaineville est utilisé par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale. En 1944, 19 résistants furent exécutés dans la forêt de Lorge.
La commune bénéficie dans la deuxième moitié du XXe s. de la proximité avec Saint-Brieuc pour voir sa population considérablement augmentée.
Le Zoopôle, un pôle de recherche dans le domaine de la santé animale, est installé à Ploufragan.
L’église actuelle a été construite entre 1878 et 1882 selon les plans de l’architecte Alexandre Angier pour remplacer un précédent édifice du XVIIIe s. détruit par un incendie en septembre 1876.
Erigé en 1945 à l’emplacement de l’actuel Zoopôle, ce monument honore la mémoire de 19 résistants qui furent exécutés sur le champ de manœuvre le 6 mai 1944.