Plouguin
Petite commune du nord-ouest du Finistère, Plouguin (2 038 habitants) est située sur le plateau du Bas-Léon, au sud de l’Aber Benoît, à 18 kilomètres au nord de Brest.
La présence de menhirs témoigne d’une occupation humaine du territoire au Néolithique.
Paroisse primitive qui englobait également à l’origine les territoires de Coat-Méal, de Tréglonou et de Tréouergat, Plouguin releva de l’ancien diocèse de Léon jusqu’au Concordat de 1801. La grande forêt qui la couvrait fut défrichée au Moyen Age.
Au Moyen Age, les moines de Landévennec y possédaient une chapelle.
Sous l’Ancien Régime, Plouguin dépendait de la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan.
La présence de menhirs témoigne d’une occupation humaine du territoire au Néolithique.
Paroisse primitive qui englobait également à l’origine les territoires de Coat-Méal, de Tréglonou et de Tréouergat, Plouguin releva de l’ancien diocèse de Léon jusqu’au Concordat de 1801. La grande forêt qui la couvrait fut défrichée au Moyen Age.
Au Moyen Age, les moines de Landévennec y possédaient une chapelle.
Sous l’Ancien Régime, Plouguin dépendait de la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan.
Ultime survivant d’un petit alignement de cinq mégalithes détruit en 1887, il est haut de 6,50 mètres.
Il mesure 4,70 m de haut. A ses pieds se trouvent des vestiges d’autres pierres.
Egalement appelée Saint-Pirric, cette petite chapelle est bâtie au XVIIe s. dans le cimetière de l’enclos paroissial.
Construit dans un enclos en 1771, l’édifice actuel a remplacé une chapelle plus ancienne. Celle-ci a été établie à l’emplacement du premier oratoire fondée au bord de l’aber Benoît par saint Majan, frère de saint Gouesnou, lors de son arrivée en Armorique au VIe s. Sous l’Ancien Régime, les seigneurs de Trouzilit y étaient inhumés.
Ancienne chapelle privée de la famille Lesven, elle fut reconstruite au XIXe ou XXe s.
Haut de 6 mètres, il est élevé au XVe s. Une Vierge à l’Enfant figure au revers du Crucifix.
Réalisé par le célèbre sculpteur Yan Lar’hantec, ce calvaire, haut de 7 mètres, est élevé à l’occasion de la mission de 1894.
Installée à l’une des entrées de l’enclos paroissial, elle présente la statue de sainte Gwen. Selon la légende, l’épouse de Fragan se vit doter d’un troisième sein afin de pouvoir allaiter son fils, saint Guénolé.