Plouhinec
Grosse commune du Sud-Finistère (4 106 habitants), dans le Cap-Sizun, Plouhinec est voisine d’Audierne, à 32 kilomètres de Quimper.
Baigné par l’océan Atlantique, le territoire de Plouhinec comporte de belles plages (Kersiny, Mesperieuc, Guendrez) et pointes (Souc’h, Karreg Léon).
Outre son riche patrimoine mégalithique et religieux, Plouhinec est célèbre pour abriter le site de Ménez Drégan. Occupée dès le paléolithique inférieur, cette grotte a livre les plus anciennes traces d’utilisation du feu en France et parmi les plus anciennes au monde (480 000 avant J.-C.).
Baigné par l’océan Atlantique, le territoire de Plouhinec comporte de belles plages (Kersiny, Mesperieuc, Guendrez) et pointes (Souc’h, Karreg Léon).
Outre son riche patrimoine mégalithique et religieux, Plouhinec est célèbre pour abriter le site de Ménez Drégan. Occupée dès le paléolithique inférieur, cette grotte a livre les plus anciennes traces d’utilisation du feu en France et parmi les plus anciennes au monde (480 000 avant J.-C.).
Située à Pors Poulhan, cette sépulture collective du Néolithique (entre 3 300 et 2 800 avant J.-C.) est longue de 11 mètres et composée de 16 piliers.
Dynamité par les Allemands en 1942, le site a été restauré en 1988.
Dynamité par les Allemands en 1942, le site a été restauré en 1988.
Maillon de la chaîne ininterrompue des postes de défense du littoral, mis en place par Vauban sous le règne de Louis XIV, celui-ci fut construit en 1747. Abandonné au XIXe s., il fut acquis par le Conseil général du Finistère et restauré en 1997.
Dédiée à Saint-Julien l’Hospitalier, elle est édifiée en 1885 à l’emplacement d’une chapelle en ruines du XVIe s. et profondément modifiée en 1929. Le premier édifice avait été bâti près de l’endroit où un passeur faisait traverser le Goyen.
Construite au village de Lambabu en 1553, elle est agrandie d’une sacristie en 1737. Le clocher se compose d’un beffroi amorti par une flèche octogonale. Le pardon local se déroule le premier dimanche de mai.
Construit en face d’Audierne de 1932 à 1933, ce bâtiment est l’un des derniers établis par l’œuvre de bienfaisance fondée en 1900 par Jacques de Thézac pour venir en aide aux marins bretons. L’abri de Poulgoazec ferme ses portes en 1985.