Plouisy
Petite commune de l’ouest des Côtes-d’Armor, Plouisy (1 908 habitants) est située dans le Trégor, sur la rive gauche du Trieux, à trois kilomètres au nord-ouest de Guingamp.
Traversée dans l’Antiquité par des voies romaines, Plouisy est mentionnée pour la première fois en 1330. Dès le Moyen Age, la paroisse relève en partie des seigneurs de Saint-Michel (famille La Rivière) et des seigneurs du Poirier à Kermoroc’h, successivement aux mains des Du Perrier, des Laval (1482), des Rohan-Guéméné (1529), des Pons de Roquefort (XVIIe s.) et enfin des Quélen de Vauguyon (XVIIIe s.).
Sous l’Ancien Régime, Plouisy dépend religieusement du diocèse du Trégor et du doyenné de Guingamp et civilement ressort au siège royal de Lannion.
En 1822, Guingamp cède à Plouisy le territoire de Kervoalan, tandis que plus d’un siècle plus tard, c’est Plouisy qui perd le quartier du Roudourou au profit de Guingamp (1964).
Durant la Seconde Guerre mondiale, la résistance est très active sur le territoire de Plouisy.
Traversée dans l’Antiquité par des voies romaines, Plouisy est mentionnée pour la première fois en 1330. Dès le Moyen Age, la paroisse relève en partie des seigneurs de Saint-Michel (famille La Rivière) et des seigneurs du Poirier à Kermoroc’h, successivement aux mains des Du Perrier, des Laval (1482), des Rohan-Guéméné (1529), des Pons de Roquefort (XVIIe s.) et enfin des Quélen de Vauguyon (XVIIIe s.).
Sous l’Ancien Régime, Plouisy dépend religieusement du diocèse du Trégor et du doyenné de Guingamp et civilement ressort au siège royal de Lannion.
En 1822, Guingamp cède à Plouisy le territoire de Kervoalan, tandis que plus d’un siècle plus tard, c’est Plouisy qui perd le quartier du Roudourou au profit de Guingamp (1964).
Durant la Seconde Guerre mondiale, la résistance est très active sur le territoire de Plouisy.
Ce monument honore la mémoire de treize maquisards tombés pour la France.
Il est inauguré à l’entrée du cimetière en 1921.