Ploumagoar
Commune de l’ouest des Côtes-d’Armor, Ploumagoar (5 434 habitants) est située à trois kilomètres au sud de Guingamp.
Des découvertes archéologiques (tumulus, camp, etc.) attestent de l’occupation humaine du territoire dès l’âge du bronze. A l’époque gallo-romaine, celui-ci est traversé par la voie Nantes - Le Yaudet.
La paroisse primitive de Plouvagor, fondée lors de l’immigration bretonne, s’étend à l’origine sur toute la rive droite du Trieux, englobant Notre-Dame de Guingamp, Pabu, Saint-Agathon et Le Merzer.
En 1637, la famille du Parc obtient l’érection en marquisat de la terre de Locmaria (associée à Guerrand, aujourd’hui en Finistère).
Sous l’Ancien Régime, Ploumagoar dépendait du diocèse de Tréguier, de la doyenné et de la subdélégation de Guingamp et de la juridiction de Lannion.
Durant la période révolutionnaire, la commune est touchée par le mouvement chouan. Ploumagoar est un temps chef-lieu de canton (jusqu’en 1801/1802).
Sa proximité avec Guingamp favorise au XXe s. l’urbanisation de la partie nord du territoire.
En juillet 1944, plusieurs résistants furent fusillés par les Allemands au lieu-dit de Malaunay.
Des découvertes archéologiques (tumulus, camp, etc.) attestent de l’occupation humaine du territoire dès l’âge du bronze. A l’époque gallo-romaine, celui-ci est traversé par la voie Nantes - Le Yaudet.
La paroisse primitive de Plouvagor, fondée lors de l’immigration bretonne, s’étend à l’origine sur toute la rive droite du Trieux, englobant Notre-Dame de Guingamp, Pabu, Saint-Agathon et Le Merzer.
En 1637, la famille du Parc obtient l’érection en marquisat de la terre de Locmaria (associée à Guerrand, aujourd’hui en Finistère).
Sous l’Ancien Régime, Ploumagoar dépendait du diocèse de Tréguier, de la doyenné et de la subdélégation de Guingamp et de la juridiction de Lannion.
Durant la période révolutionnaire, la commune est touchée par le mouvement chouan. Ploumagoar est un temps chef-lieu de canton (jusqu’en 1801/1802).
Sa proximité avec Guingamp favorise au XXe s. l’urbanisation de la partie nord du territoire.
En juillet 1944, plusieurs résistants furent fusillés par les Allemands au lieu-dit de Malaunay.
L’édifice actuel, construit entre 1778 et 1788 selon les plans de l’ingénieur Anfray, a remplacé une église plus ancienne. Il est restauré en 1933.
Reconstruite au XXe s., cette chapelle a conservé des éléments de la construction de la fin du XVe s., une fondation de la famille Du Parc. Le pardon de Sainte-Brigitte se déroule le premier dimanche de juillet.
Cette fontaine était autrefois associée à une chapelle mentionnée pour la première fois au XVe s. Vendue comme bien national sous la Révolution, celle-ci tomba en ruines et fut détruite. La niche abrite un visage gravé dans la pierre.
L’eau de la fontaine Saint-Hernin avait la réputation de guérir les paralytiques.
L’eau de la fontaine Saint-Hernin avait la réputation de guérir les paralytiques.