Plounérin
Petite commune de l’ouest des Côtes-d’Armor, Plounérin (736 habitants) est située entre Morlaix et Guingamp.
La présence d’un menhir, aujourd’hui disparu, atteste de l’occupation du territoire dès le Néolithique. A la fin du haut Moyen Age, une motte fut bâtie au lieu-dit Ar C’hastell. Paroisse bretonne primitive, Plounérin voit l’implantation, à l’époque médiévale, des templiers (puis des hospitaliers à partir du XIVe s.) ainsi que des cisterciens de l’abbaye du Relecq. En 1425, la paroisse est transférée du siège ducal de Guingamp à celui de Morlaix, pour remier Jean de Penhoat de sa fidélité à Jean V. Fief de la famille de Penhoat, la seigneurie de Plounérin passa aux sires de Bruillac en 1695.
Jusqu’au Concordat de 1801, Plounérin releva religieusement du diocèse de Tréguier.
En 1803, des chouans pillèrent la diligence Paris-Brest à Kerabalen.
La présence d’un menhir, aujourd’hui disparu, atteste de l’occupation du territoire dès le Néolithique. A la fin du haut Moyen Age, une motte fut bâtie au lieu-dit Ar C’hastell. Paroisse bretonne primitive, Plounérin voit l’implantation, à l’époque médiévale, des templiers (puis des hospitaliers à partir du XIVe s.) ainsi que des cisterciens de l’abbaye du Relecq. En 1425, la paroisse est transférée du siège ducal de Guingamp à celui de Morlaix, pour remier Jean de Penhoat de sa fidélité à Jean V. Fief de la famille de Penhoat, la seigneurie de Plounérin passa aux sires de Bruillac en 1695.
Jusqu’au Concordat de 1801, Plounérin releva religieusement du diocèse de Tréguier.
En 1803, des chouans pillèrent la diligence Paris-Brest à Kerabalen.
Construit en 1575, l’édifice actuel a remplacé une chapelle connue depuis le XVe s. La chapelle sud est rajoutée à la fin du XVIe s. et des modifications sont réalisées vers 1625. Le seigneur de Bruillac y possédait autrefois des prééminences. Utilisée comme salle municipale en 1793, la chapelle est rendue au culte l’année suivante. Elle est restaurée au début du XXe s.
Construite au XVIIe s. elle disposait autrefois d’une fontaine, aujourd’hui disparue, dont l’eau avait la réputation de guérir les maladies des yeux.
De style gothique, il date du XVe s.
Construit à la fin du XVIe s., il est surmonté d’une toiture conique et abrite plus de 430 boulins. Les armes de Maurice Meur ont été gravées sur le linteau de la porte.
La date de construction est indiquée au-dessus de la porte de cette maison située face à la chapelle Notre-Dame-de-Bon-Voyage.