Plourin-les-Morlaix
Gros bourg du Nord-Finistère, Plourin-lès-Morlaix (4 514 habitants) est située à 6 kilomètres au sud de Morlaix.
Paroisse primitive, elle englobait également à l’origine Le Cloître-Saint-Thégonnec. Jusqu’au Concordat de 1801, la paroisse de Plourin releva du diocèse de Tréguier.
Paroisse primitive, elle englobait également à l’origine Le Cloître-Saint-Thégonnec. Jusqu’au Concordat de 1801, la paroisse de Plourin releva du diocèse de Tréguier.
Il mesure 2 mètres de haut.
Cette série de pierres plates permettait dans l’Antiquité à la voie gauloise Morlaix - Châteauneuf-du-Faou de franchir le Queffleuth. Le pont fut utilisé plus tard par les pilhaouerien, les chiffonniers des monts d’Arrée.
Cette voie ancienne est considérée comme un vestige de la voie gauloise qui reliait dans l’Antiquité Morlaix à Châteauneuf-du-Faou.
Au début du XXe s., ce chemin creux était emprunté par les pilhaouers, des chiffonniers des monts d’Arrée qui effectuaient des tournées pour récupérer des chiffons en échange de divers objets afin de les revendre ensuite dans des dépots. Ces chiffons étaient utilisés par la suite par les moulins à papier de la région.
Au début du XXe s., ce chemin creux était emprunté par les pilhaouers, des chiffonniers des monts d’Arrée qui effectuaient des tournées pour récupérer des chiffons en échange de divers objets afin de les revendre ensuite dans des dépots. Ces chiffons étaient utilisés par la suite par les moulins à papier de la région.
Placé sous le patronage de saint Mathurin, il fut édifié entre le XVIe s. et le XVIIe s. et reconstruit au XVIIIe s. Sa façade principale comprend une porte en anse et six baies à arcades.
Haut de 4,50 mètres, il est élevé à l’entrée de l’enclos paroissial au XIXe s.
Proche de Morlaix (route de Pont-Pol), elle date du XVIIe s. Elle était située autrefois près du monastère Saint-Fiacre, fondé en 1690 par Vincent Le Borgne, seigneur de Lesquiffiou, et aujourd’hui disparu. La niche abritait une statue, qui se trouve de nos jours dans l’église Notre-Dame.
Construite au XIXe ou XXe s., cette fontaine alimentait autrefois le village voisin. La niche abritait la statue de sainte Anne avec sa fille Marie.
Il a été inauguré en 1925. Les statues, représentant un Gaulois et une femme agenouillée (en costume trégorrois, portant la toukenn) sont l’œuvre du sculpteur Donnart. Des vers en breton du barde Charles Rolland sont gravés à l’arrière.
Classé « Arbre remarquable de France » en 2000, cet if serait âgé de 1 000 ans. Autrefois, le « crieur » s’abritait sous cet arbre pour annoncer les dernières nouvelles aux habitants, le dimanche après la messe.