Plumelec
Petite commune du centre du Morbihan, Plumelec (2 685 habitants) est située dans les landes de Lanvaux, à 25 kilomètres au nord de Vannes.
La présence de plusieurs mégalithes atteste d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique. Dans l’Antiquité, celui-ci est traversé par deux voies romaines (Rennes-Carhaix et Rennes-Vannes) et deux camps sont établis, à Callac et au Château blanc.
Paroisse primitive fondée par les émigrés bretons, Plumelec aurait été le site d’une bataille opposant Bretons et Vikings vers 938.
Vers 1146, les bénédictines de Saint-Sulpice de Rennes fondent un prieuré à Locmaria (abandonné en 1792). Un second prieuré, Saint-Julien, est établi pour les trinitaires par Olivier de Cadoudal en 1336.
Au Moyen Age, la paroisse de Plumelec relève du doyenné de Porhoët.
Le breton, de style haut-vannetais, est parlé de façon majoritaire dans la région de Plumelec jusqu’au milieu du XIXe s.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Plumelec est au cœur de la Résistance bretonne. Des miliciens et la Gestapo exécutèrent dix-huit parachutistes et maquisards à Kerihuel le 12 juillet 1944.
Depuis les années 1970, Plumelec est l’un des grands centres français du cyclisme, notamment grâce à la présence sur le territoire de la commune de la célèbre côte de Cadoudal : création du grand prix de Plumelec (1974), organisation de trois championnats de France sur route (1973, 1979, 2003) et passage de cinq étapes du Tour de France (1982, 1985, 1997, 2008, 2015).
La présence de plusieurs mégalithes atteste d’une occupation humaine du territoire dès le Néolithique. Dans l’Antiquité, celui-ci est traversé par deux voies romaines (Rennes-Carhaix et Rennes-Vannes) et deux camps sont établis, à Callac et au Château blanc.
Paroisse primitive fondée par les émigrés bretons, Plumelec aurait été le site d’une bataille opposant Bretons et Vikings vers 938.
Vers 1146, les bénédictines de Saint-Sulpice de Rennes fondent un prieuré à Locmaria (abandonné en 1792). Un second prieuré, Saint-Julien, est établi pour les trinitaires par Olivier de Cadoudal en 1336.
Au Moyen Age, la paroisse de Plumelec relève du doyenné de Porhoët.
Le breton, de style haut-vannetais, est parlé de façon majoritaire dans la région de Plumelec jusqu’au milieu du XIXe s.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Plumelec est au cœur de la Résistance bretonne. Des miliciens et la Gestapo exécutèrent dix-huit parachutistes et maquisards à Kerihuel le 12 juillet 1944.
Depuis les années 1970, Plumelec est l’un des grands centres français du cyclisme, notamment grâce à la présence sur le territoire de la commune de la célèbre côte de Cadoudal : création du grand prix de Plumelec (1974), organisation de trois championnats de France sur route (1973, 1979, 2003) et passage de cinq étapes du Tour de France (1982, 1985, 1997, 2008, 2015).
Construite au XIXe s. dans le parc de Kerangat par la famille des vicomtes de Bellevue, l’édifice est bénit en 1900.
Une représentation de saint Melec figure au revers du Crucifix.
Construit au XVIe s. au manoir de La Touche-Berthelot, à Saint-Malo-des-Trois-Fontaines, il est transféré au chemin de croix de Callac. Des ornements de style Renaissance décorent les faces de l’octogone tandis que les dalles de la margelle présentent des sujets héraldiques.
Une urne contenant de la terre provenant des principaux lieux de résistance du département y a été déposée en 1964.
Ce « menhir », inauguré le 4 juillet 1971 par le ministre des Anciens combattants Henri Duvillard, est dédié aux hommes, résistants et parachutistes et SAS de la France libre, qui ont contribué à la libération du département.