Pouldreuzic
Commune du sud-ouest du Finistère, Pouldreuzic (1 800 habitants) se trouve dans le pays Bigouden, à 25 kilomètres à l’ouest de Quimper.
Bien que baignée par l’Atlantique (baie d’Audierne) et disposant d’un petit port (Penhors), la commune, essentiellement tourné vers l’agriculture, a son bourg situé dans les terres.
Pouldreuzic est probablement une paroisse bretonne primitive. Elle annexa le village de Labadan au début du XIXe s.
C’est à Pouldreuzic que fut fondée la société Hénaff en 1907, d’abord comme conserverie de légumes. Ce n’est que vers 1914 que naquit le célèbre pâté.
Pouldreuzic est également la commune natale de Per-Jakez Hélias. Il évoque son village dans Le Cheval d’orgueil.
Bien que baignée par l’Atlantique (baie d’Audierne) et disposant d’un petit port (Penhors), la commune, essentiellement tourné vers l’agriculture, a son bourg situé dans les terres.
Pouldreuzic est probablement une paroisse bretonne primitive. Elle annexa le village de Labadan au début du XIXe s.
C’est à Pouldreuzic que fut fondée la société Hénaff en 1907, d’abord comme conserverie de légumes. Ce n’est que vers 1914 que naquit le célèbre pâté.
Pouldreuzic est également la commune natale de Per-Jakez Hélias. Il évoque son village dans Le Cheval d’orgueil.
Haut de 4,20 m, ce menhir se trouve dans une petite vallée, à seulement quelques mètres d’une autre pierre dressée, le menhir de Kerglogé, située sur la commune de Plovan.
Construite à la fin du XIIIe s. par l’atelier de Pont-Croix, cette chapelle de marins fut agrandie à plusieurs reprises entre le XVe (époque de la réalisation principale), le XVIe (chapelles nord et sud) et le XVIIe s.
Un très important pardon se déroule à la chapelle Notre-Dame le premier dimanche de septembre.
Un très important pardon se déroule à la chapelle Notre-Dame le premier dimanche de septembre.
Il date du début du XVIe s.
Haute de 5 mètres, la croix du placître date également du XVIe s.
Le fût représente plusieurs personnages : une femme, un évêque, un moine et saint Laurent.
Le fût représente plusieurs personnages : une femme, un évêque, un moine et saint Laurent.
Réalisé en 1972 par le sculpteur Guy Pavec (de Landudec), il présente des personnages symbolisant la Bretagne ainsi que les saints fondateurs de la Cornouaille, saint Corentin et saint Guénolé.
La pierre tombale rappelle également le souvenir de l’abbé Jean-Etienne Riou, recteur du village de Lababan et prêtre réfractaire qui fut guillotiné à Quimper le 17 mars 1794. Ses dernières paroles, en breton, sont gravées sur le monument : « Trois beaux jours dans ma vie : le jour de mon baptême, le jour de mon ordination et ce jour où je suis appelé à donner ma vie ».
La pierre tombale rappelle également le souvenir de l’abbé Jean-Etienne Riou, recteur du village de Lababan et prêtre réfractaire qui fut guillotiné à Quimper le 17 mars 1794. Ses dernières paroles, en breton, sont gravées sur le monument : « Trois beaux jours dans ma vie : le jour de mon baptême, le jour de mon ordination et ce jour où je suis appelé à donner ma vie ».